J'étais intéressé par les langues en général. Mais le coréen m'attirait le plus. Je n'avais pas assez confiance en moi au collège pour choisir un programme/cursus qui me correspondait le mieux. Je suis donc entrée en Bac Pro MODE. C'était une bonne expérience. Mais je n'avais que 4 heures d'anglais par semaine, mon niveau était donc trop haut, je n'avançait pas. Je voulais faire plus de langues, et commencer à apprendre le coréen. L'Université de La Rochelle était bien située (à 30 km de chez moi), et elle proposait ce que je voulais le plus apprendre: le coréen.
L'Université de La Rochelle propose un séjour linguistique pouvant se passer en Corée du Sud. Ce que je vais notamment faire l'automne prochain. Il y a aussi beaucoup d'étudiants d'échange qui viennent étudier à La Rochelle, ce qui nous permet d'échanger avec eux. Les nombreuses matières nous donne un accès total à différent métiers et secteurs d'avenir.
Je n'avais jamais encore fais de cours de droits, ni de cours de civilisation puisque j'étais en Bac pro Mode. J'avoue que cela me faisait un peu peur, mais j'ai su prendre sur moi et travailler dur pour obtenir ce que je voulais. Au début, les cours étaient simples; quelques matières d'économie, d'entreprise. Après est arrivé le droit. Pas de diaporama, que de l'écoute; à vos stylos. Malgré la rapidité de ce cours, c'était une bonne expérience pour de petits L1 qui venaient de commencer. Mais le fait que ce ne soit pas sous forme de powerpoint nous a fait nous concentrer davantage sur les paroles et non pas sur ce qui pourrait être écrit.
Je suis une passionnée des langues, plus particulièrement la langue coréenne. Et j'avoue avoir eu quelques facilités tout au long de mes deux années de licence à ce niveau là. J'ai pu revoir en profondeur tout de A à Z, ce qui m'a permis de m'améliorer et de me perfectionner. Le principal point étant d'être assidus. Venir au cours, écouter, prendre des notes. C'est ce qui fait que l'on ne se perd pas, et qu'on arrive à avoir un bon niveau.
Tout d'abord, je peux renseigner les étudiants sur le cursus LEA. J'ai notamment participé à des concours (national ou régional), pour expliquer ma formation aux lycéens, ... ainsi que les portes ouvertes de l'Université de La Rochelle tous les ans pour aider ceux-ci à en savoir plus. Je peux aussi répondre à leurs questions concernant l'échange universitaire à l'étranger.
Je suis rentrée en 2ème année à l'EBI (Ecole de Biologie industrielle) afin de devenir ingénieur. J'ai passé deux fois la PACES avant ça et mes notes m'ont permis d'entrée en admission parallèle dans min école. Ce que j'apprécie particulièrement c'est que sur les 5 ans d'école tu peux choisir ta spécialité en 4ème année avoir avoir essayer un peu tout. J'ai choisi le marketing parmi les 5 proposés mais je peux t'expliquer celle que tu souhaite. Je rentre dans la vie active avec beaucoup de compétences et une bonne préparation. Si tu as des questions concernant cette formation ou mon parcours, n'hésite pas à aller sur mon profil et prendre rendez-vous gratuitement. Je t'appellerai avec plaisir pour qu'on puisse en parler tous les deux :)
Après le bac, je savais déjà que je voulais exercer un métier dans le domaine sociale. Je suis une personne qui a besoin du contact et des échanges. La licence sciences de l’éducation est une licence complète pour les étudiants voulant devenir professeur des écoles par le parcours « P-E », avec des cours en didactiques, de sociologie… En ce qui concerne l’autre parcours « lien social », celui que j’ai fais, je trouve les parcours plus intéressant dans le sens où il y a de la psychologie, de la sociologie, des UE où nous découvrons des métiers socials… La licence sciences de l’éducation parcours lien social permet d’acquérir des connaissances certaines dans le domaine des sciences humaines et sociales, les propositions de master sont donc plus variées que pour le parcours Professeur des écoles
Je suis en première année d'études à EPITA Rennes, en prépa intégrée, année qu'on appelle SUP. A la base je viens de la Réunion et je ne suis pas habitué du tout au climat de la métropole, encore moins du climat breton en hiver. Parfois se lever tous les lundis matins à 6h30 pour des QCM à points négatifs était très déprimant : il fait encore nuit, froid et je vais me taper une mauvaise note, encore. Le travail est particulier, les QCM de certaines matières, en particulier maths, algorithmique, et physique se révisent en ligne sur des mini moocs appelés Mimos. Ce système de classe inversée est pratique car on a moins d'heures en présentiel mais il m'a fallu apprendre à travailler à la maison. En revanche je n'arrivais pas encore bien à travailler chez moi, j'avais besoin d'une distinction entre le travail et la maison. C'est alors que j'ai découverts les avantages de l'école et de la vie étudiante : Rien n'empêche dans la journée quand on a pas cours de travailler à la bibliothèque, ou encore mieux, de revenir à l'école. À EPITA, la carte étudiante constitue un badge qui nous permet d'accéder à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, qu'importe le jour, aux salles informatiques et aux réfectoire, les tables servant d'openspace. Certes partir de chez soi la nuit ou rester à l'école jusqu'à tard est contraignant, mais être forcé d'y rester 50h par semaine le serait plus à mon avis. Tandis que là il y a en moyenne 25h de cours par semaine en présentiel, le reste c'est à chacun de gérer son travail en fonction de ses aptitudes. Après un premier semestre marqués d'absences et de mauvaises notes en QCM et en contrôles de TD, j'ai pu remonter la pente et ait finit par m'attacher à cette école. EPITA Rennes est la plus petite des EPITA, et la proximité entre les professeurs, les élèves, et l'administration est grande, et cela crée un sentiment de bien être malgré la charge de travail.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle