J'ai toujours aimé aider les autres alors lors du stage de 3ème j'ai choisi de le faire chez ma cousine qui est masseur-kinésithérapeute. En rentrant au lycée, j'ai découvert l'SVT et surtout tous les chapitres qui se rapportaient au fonctionnement du corps humain. Alors j'ai commencé à chercher des filières se rapportant à la santé. J'ai commencé à regarder tous les métiers se rapportant au paramédical et au médical. J'ai commencé aussi à discuter avec des étudiants de différents horizons et c'est réellement eux qui m'ont éclairé sur mon choix de partir en PACES.
Pour l'instant, je suis en 3ème année de sage-femme. Il me reste encore 2 ans dans cette filière avant d'être officiellement diplômée comme sage-femme ! J'ai envi de continuer les études par la suite, en faisant des DIU (Diplôme inter-universitaires) qui permettent de compléter ma formation initiale. J'aimerai aussi peut-être accéder à la passerelle pour continuer mes études en médecine pour continuer dans la spécialité obstétrique/ gynécologue. Beaucoup de projets.
Au cours de ma formation, mon premier challenge est de toujours permettre une prise en charge optimale de mes patientes ! Il faut avant tout penser au bien être de ces dernières tout en oubliant pas de toujours progresser dans notre formation. La santé demande patience et persévérance. Il faut toujours être à l'écoute et nous ne sommes pas toujours remerciés à notre juste travail mais c'est tellement épanouissant d'être là qu'on en oublie les désagréments possibles.
Je pense que je qualifierai comme plus grande qualité me concernant l'écoute et la motivation de toujours donner le meilleur dans ce que je fais. Je sais combien il est difficile de choisir une orientation qui nous correspond et encore plus de se retrouver parmi toutes les informations qu'on peut nous donner pendant le lycée ou même après. C'est pourquoi il me semble important qu'en tant que étudiante avec une expérience et un vécu, je les partage.
De plus, ces informations ne sont pas toujours objectives car souvent délivrées par les écoles concernés,etc qui poussent toujours les gens à venir dans cette école plus qu'une autre.. Je peux aussi rajouter que je suis calée dans ma filière mais j'ai des amis étant dans des filières très diverses et qui me partagent souvent leurs expériences. Je peux aussi répondre aux questions correspondant à la PACES puisque je l'ai vécu aussi.
Le mot "Master" peut parfois faire peur aux premiers abords, et pourtant il s'agit pour moi d'une de mes meilleures années d'études supérieures. Après mes deux années de CPGE littéraire, et mon année de licence histoire-géographie, j'ai poursuivit mon petit chemin cette fois-ci à Rennes au sein du master DYSATER (Dynamique sociale et aménagement du territoire). Tout d'abord Rennes est une ville où il fait bon vivre, ce qui n'est pas négligeable dans une vie étudiante. Ensuite le master en lui même m'a beaucoup plus, mais il faut savoir que les avis à son sujet sont assez divergents. Dans sa présentation on peut lire que ce master est à la fois un master de rechercher (puisqu'il faut réaliser un mémoire chaque année) et professionnalisant. C'était tout à fait ce que je recherchais, pourtant aujourd'hui je m'apprête à entamer ma deuxième année et j'ai peur qu'à la fin de celle-ci je ne trouve pas de travail, sans doute car j'ai mal été aiguillée, ce pour quoi je fais ce témoignage aujourd'hui. Le master DYSATER partage un certain nombre de cours en tronc commun avec les autres master d'urbanisme de Rennes 2 (AUDIT, ACT, MOUI), il s'agit notamment du droit de l'urbanisme, de l'histoire de l'urbanisme, mais également des outils méthodologique (SIG, questionnaire etc.). Il y a ensuite des cours aux choix qui sont proposés aux autres parcours également et qui permettent de façonner son propre chemin. Puis il y a des cours uniquement pour ce master, ces cours sont alors tournés vers des problématiques plus sociales (d'où le nom du master). Aux premiers abords, il semble alors très complet, mais les cours sont parfois un peu superficiels, ou des redites de la licence (suivant de laquelle on vient), d'autant plus que les travaux demandé sont généralement des travaux de recherche qui ne nécessitent pas forcément l'utilisation et la connaissance du cours. Tout cela peut donc apparaître comme une première limite. Ensuite, il est dit que ce master est également professionnalisant, mais pour ma part je n'arrive toujours pas avoir très concrètement ce qu'on peut attendre de moi plus tard au sein d'une entreprise. En effet, selon moi il y a beaucoup de théories, et peut de mise en pratique. D'ailleurs, il n'y a pas de stage obligatoire au sein de cette formation, ce qui vient de nouveau limiter le côté professionnalisant, car il semble difficile de se lancer dans ce domaine sans même avoir touché du doigt au moins une petite expérience professionnelle. Pour ce qui est de la recherche, faire un mémoire dès la première est une expérience très constructive et qui apporte beaucoup, en terme de réflexion, d’expression etc. Mais de nouveau, le côté recherche me semble incomplet. Il existe en effet un cours intitulé "méthodologie de la recherche", je n'ai pourtant pas la sensation d'avoir appris beaucoup de ce dernier. Heureusement les directeurs de mémoires sont généralement des personnes très à l'écoute, ce qui aide davantage à la prise de conscience de ce qu'est la recherche (puisque ce sont eux mêmes des chercheurs), mais il manque selon moi un peu de structure à cette initiation à la recherche. Après tous ces commentaires on pourrait penser que mon avis sur le master est donc plutôt négatif. Néanmoins, même si je pense poursuivre mes études avec une licence professionnelle, je ne considère pas ces deux années comme du temps de perdue. Tout d'abord, parce qu'on consacre beaucoup de temps à la réalisation du mémoire ce qui est pour moi une expérience vraiment enrichissante, qui peut ouvrir la voie pour certain vers une thèse. Ensuite, parce que la majorité des cours sont intéressant, qu'ils laissent une certaine liberté dans le choix des sujets etc. ce qui permet finalement de s'orienter vers ce qui nous intéresse le plus, pour construire son projet d'avenir. Enfin, parce que la majorité des enseignants-chercheurs sont très intéressants et à l'écoute, que l'on peut partager beaucoup avec eux, et aussi tout simplement parce que le climat au sein des promo est particulièrement agréable. L'apport social est souvent mis de côté alors même qu'il apporte aussi beaucoup pour la suite. Voilà donc mon avis après cette première année de master, peut-être que celui-ci changera à la fin de la seconde année. J'espère, en tout cas, que mon expérience pourra vous aider.
Suite à deux années de classes préparatoires littéraires au Mans, j'ai décidé de poursuivre mon aventure dans les études supérieures en partant vers la capitale. En effet, j'ai été prise à l'université Paris IV - Sorbonne, dans une bi-licence en Histoire et Géographie - aménagement. Cette année fut assez particulière pour plusieurs raisons. Tout d'abord la vie parisienne. Effectivement, même si cela peut paraître anecdotique la vie quotidienne n'est pourtant pas à négliger. J'avais donc cours à la Sorbonne sur deux campus différent : La Sorbonne mère dans le quartier latin (5éme arrondissement) et à Clignancourt (18éme arrondissement). Or à causes du timing (j'avais eu mes résultats d'admission assez tard) et aussi par soucis financier, j'avais trouvé un logement en banlieue. J'habitais donc à Fontenay-aux-Roses (dans le 92). Bien que cette commune soit plutôt tranquille, cela impliquait que je prenne le RER B tous les jours, avec un temps de trajet d'environ 45min-1h quand il n'y avait pas de problèmes (et tout le monde sait que les transports parisiens et particulièrement les RER rencontrent assez fréquemment des problèmes). Avec du recul, je pense que j'aurais gagné en efficacité si mon logement ne c'était pas trouvé aussi loin de mes lieux de cours. En effet, les transports et le temps passé dedans représentaient une source de stress importante, ce qui influe également sur le moral, la motivation etc. Selon moi, il est donc important de bien choisir son espace de vie (même si cela n'est pas toujours facile d'un point de vu financier par exemple, surtout à Paris). Mais venons en au cœur du sujet : la licence et la sorbonne. L'université de la Sorbonne est une faculté plutôt réputée, ce qui peut faire peser une certaine pression. Cependant il existe plusieurs Sorbonne, à savoir que Paris IV n'est pas la "meilleure" (il s'agirait à priori de Paris I, qui est plus sélective). Il est vrai que tout au long de l'année, j'ai été un peu déçue de mes résultats. Pour autant ceux-ci était loin d'être mauvais, puisque j'ai validé ma licence avec une mention Assez Bien. Les professeurs ont parfois une notation un peu sévère, peut être davantage que dans d'autres facultés (je ne peux pas l'affirmer car je n'ai pas de point de comparaison). Mais il faut aussi savoir que la licence est une formation assez sélective, la notation "sévère" à aussi pour but de garder uniquement les élèves motivés. Enfin il s'agit là uniquement de mon opinion, rien n'est certain. La charge de travail était elle aussi importante, d'autant plus qu'il s'agit d'une bi-licence. Autrement dit, j'avais autant de cours d'histoire que de cours de géo, pour finalement n'avoir qu'une simple licence de géographie - aménagement à la fin de cette année. Il s'agit d'une seconde chose à laquelle j'aurais dû prêter plus d'attention lors de mon inscription. Effectivement, au départ je pensais obtenir le double diplôme, il faut donc bien vérifier qu'il s'agit d'une double licence et non pas d'une bi-licence qui ne délivre qu'un seul diplôme. Pour autant, les cours n'en étaient pas moins passionnants. L'un des avantages d'être dans une Université renommée, est que l'on a affaire à des professeurs spécialistes dans leur domaine (des pointures comme on dit familièrement). Mais je pense qu'il faut aussi démystifier un peu la chose, puisque ces professeurs spécialistes sont présents dans bon nombre d'autres universités. En outre, Paris IV reste une université assez comme les autres, bien qu'elle offre une diversité de formation, et de cours aux choix au sein de celles-ci qui sont considérables. Je ne regrette pas d'avoir vécue cette expérience car elle m'a apprit énormément de choses, les cours et les professeurs que j'ai eu, étaient par ailleurs tous plus passionnants les uns que les autres. Mais en ayant pris du recul, il y a tout de même certaines choses que j'aurais fait différemment. Voilà mon petit témoignage quant à mon année de licence histoire-géographie à l'université Sorbonne Paris-IV, en espérant que celui-ci pourra vous être utile.
L'école de commerce ? Débauche ou Embauche ?
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