J'ai choisi le DUPREEO un peu au hasard. Je ne venais pas de Lille et je ne sais pas vraiment quelles prépa étaient le mieux selon ce que l'on recherche. Je suis allée visiter la fac de Lille 3 avec une amie et mes parents et je suis tombée sur un stand qui vantait les mérites de cette prépa. Grâce à elle, si on n'avait pas le concours, on pouvait arriver directement en deuxième année d'une licence, ce qui a très intéressé mes parents qui ne voulaient pas tellement perdre de temps. Le prix aussi était un avantage, c'était une des moins cher mais il fallait tout de même mettre le prix.
Cette formation au concours d'orthophoniste peut m'aider dans mon projet futur de professeur des écoles car on revoit toutes les règles d'orthographe dans les moindres détails. J'ai appris à être autonome, à faire moi-même mes cours pour apprendre au mieux. Et on ne va pas se mentir, un prof qui ne sait pas écrire c'est pas vraiment le top quand tu apprends l'écriture...
Mon principal challenge était de bosser seule. Je n'avais pas l'habitude de me prendre en main, réviser ou travailler tous les jours en me concentrant vraiment, mais là il le fallait.La prépa préparait beaucoup l'arrivée en Licence (bien que ce ne soit pas le but premier) et donc, si je voulais réussir, il fallait que je m'en donne les moyens et que je comble le manque de préparation. J'allais souvent à la BU car je n'arrivais pas à travailler chez moi, j'utilisais internet, des livres pour réviser les concours , je me faisais des fiches de vocabulaire, de grammaire, et je les apprenais.
Je pense que ma plus grande qualité à été la rigueur. Si on ne bosse pas, on n'a pas le concours d'avance. Le concours est vraiment très dur, et d'ailleurs même si on bosse on risque de ne pas l'avoir. J'essayais d'en apprendre toujours plus, et au fur et à mesure j'aimais apprendre car je me cultivais et je devenais curieuse de savoir de nouvelles choses.
Je pense pouvoir vous être de bon conseil car malgré ma prépa qui ne préparait pas vraiment, j'ai réussi à être 400ème sur 3 000, j'ai passé les concours deux fois donc je sais ce qui revient souvent, ce qu'il est important de réviser ou ce qu'il faut éviter. je sais aussi qu'on peut choisir les concours selon la distance ou selon le domaine où l'on est fort. De plus, je suis très à l'écoute des problèmes et j'essaie de les résoudre, vous pouvez me parler de tout je ne vous enverrai pas bouler ahah
POUR CE BTS COMPTABILITE ET GESTION Il faut savoir que ce bts est pas facile comme toutes autres formations mais sachiez que vous pouvez quand même l'avoir en maximisant votre travail et en redoublant d'effort toujours êtres en cours ne pas en manquez et une solution , toujours vouloir chercher plus au près de vos connaissances et avoir une excellente confiance en soi . Il se peut que vous soyez décourager mais il faut pas perdre espoir même si c'est la filière idéale vous trouverez votre voie dans le domaine qui vous plaira
LES PROFS En général, les profs des matières principales (maths et physique en sup) n'ont qu'une classe, donc rapidement ils connaissent toute la classe et apporte un suivi personnalisée. Personnellement, je me suis bien entendu avec tous, y compris ceux que j'ai rencontré ponctuellement pour les colles. Je dirais que dans l'ensemble ils ont des méthodes de travail assez modernes, càd ils ne sont pas du genre à mettre des notes excessivement basses par principe pour dresser les élèves. Au contraire, les moyennes étaient autour de 10-12 et les notes allaient de 2 à 28 (oui oui, sur 20). L'AMBIANCE En sup, les classes sont faites pour être équilibrées. Donc elles ne sont pas faites sur une base de niveau. L'ambiance était excellente, j'en ai été la première surprise. Il y a en quelques jours une grande solidarité entre les internes, et rapidement tout le monde fait connaissance et se lie. Des groupes de travail se forment, les meilleurs aident ceux qui ont plus de difficultés, etc. En somme, beaucoup d'amitié mais du sérieux quand c'est nécessaire. En fonction des classes, il y a plus ou moins de soirées organisées, dans certaines c'est tous les week-ends, et dans toutes c'est au moins une fois avant chaque période de vacances. LA MPSI Les cours sont à peu près aussi nombreux qu'en Terminale. Il faut y ajouter 2h de colles par semaine, et un DS le samedi matin (officiellement de 8h à 12h, mais les matières tournent et les profs font comme ils veulent, très souvent c'était plus court). Perso, je travaille 3h par soir en semaine et voilà. Donc disons 8h-12h et 13h-18h en cours, puis 19h-22h chez moi. Au lit à 23h, debout à 7h. Donc assez calme quand même. Certains travaillaient plus tard mais c'est parce qu'ils se connaissaient bien et dorment naturellement peu. Aucune personne que je connais et qui a essayé de réduire ses heures de sommeil n'en a tiré prof. Et ceux ne sont pas ceux qui travaillent le plus qui réussissent le mieux. LA FILIERE J'avais demandé des PCSI et des MPSI, avec une préférence pour la MPSI. Et j'avais aussi peur de finir avec des intellos rigides (no worry, c'est juste un cliché).
Après mes deux années de classe préparatoire, je suis entrée à l'IPSA sur concours. Je suis arrivée à Toulouse, mais c'était pendant le covid, donc je n'ai pas pu vraiment profiter de la vie étudiante la bas. En terme de cours, c'était assez dense mais très interressant avec des profs à l'écoute et gentils. Pendant la troisième année, il faut choisir ta filière principale entre Systèmes et Véhicules. J'ai pris système pour pouvoir me spécialiser dans l'informatique et les systèmes embarqués. Une fois la troisième année finie, j'ai fait mon semestre à l'étranger à Barcelone (premier semestre de la quatrième année), où j'ai étudié les sciences de l'ingénieur aérospatial. Finalement, j'ai du partir à Paris pour finir ma quatrième et cinquième année d'école d'ingénieur car ce n'était pas encore possible à Toulouse. Une fois arrivée à Paris, j'ai choisi la filière Espace Lanceurs et Satellites car je voulais absolument travailler dans le spatial. La vie à l'école s'est bien déroulé, j'ai eu l'occasion de faire beaucoup d'activités extrascolaires tout en travaillant pour réussir les partiels. Maintenant, je suis en fin de 5ème année à l'IPSA, en stage chez l'ONERA, et je suis très épanouie.
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