J'ai été conseillé par mon professeur principal en terminal. J'ai aussi été dans des journées sur l'orientation où j'ai pu parler avec des étudiants en médecine et en sages-femmes. Et une fois en PACES , je réfléchissais toujours et je me suis rendu compte que les études de médecine était bien trop longue et que ce n'était pas forcément ce que je voulais. Le métier de sage-femme englobe tellement de pratique et pas seulement l'accouchement. Je trouvais qu'il me correspondait mieux, même si beaucoup de gens autour de moi voulaient me voir médecin, je n'ai pas craqué et je suis restée sur mon choix.
Cette formation est très enrichie, elle nous plonge dès le début dans le monde du travail car nous avons énormément de stages. Nous forgeons notre manière de travailler tout au long de nos études. Il faut profiter de tous ces stages pour en apprendre un maximum et mettre en application les cours théoriques. Il faut profiter d'avoir des professionnels qui nous encadre avant de se retrouver seul face aux patientes, pour ne pas partir dans l'inconnu ensuite. Je pense que ces 4 ans d'école sont la base de notre apprentissage mais aussi la base de notre métier !
Le principal pour moi a été de sortir du PACES avec mon concours ! Je pense que j'en aurai d'autres au cours de ma formation, étant seulement au début. Mais la PACES m'avait tellement été présentée comme une horreur que je m'étais dis que la plus belle chose pour moi était d'arriver à la passer ! Et finalement ce n'était pas si horrible que ça, il y a eu des hauts et des bas certes mais j'en garde des bons souvenirs !
Ma plus grande qualité a été de toujours garder la tête haute et de ne jamais baisser les bras ! Une force qui m'a permis d'arriver où je voulais ! Je pense que sans cette envie d'y arriver, cette niaque en moi, j'aurai pu très vite laisser tomber cette formation. Car la PACES n'a qu'un bourrage de crâne où il faut juste être meilleur que les autres!
Je suis quelqu'un de très optimiste qui pense que tous est possible quand on en a réellement envie ! Je suis donc quelqu'un qui est capable de redonner l'envie et le courage à certaines personnes qui n'ont pas forcément un grande confiance en eux ! Et moi aussi j'ai douté et je pense que je pourrais expliquer comment passer au dessus de tous ces doutes et ces craintes.
Tout d'abord, il faut savoir que le DCG est un dilplôme d'état. La session d'examens est en mai/juin et il n'y a pas de rattrapages. Lorsque je suis arrivée en DCG, je venais de sortir de 6 mois de vacances, vu que j'avais arrêter la fac de médecine au bout d'un semestre. J'étais donc très motivée pour recommencer à nouveau mes études. Les premiers mois étaient compliqués, venant d'une filière scientifique, je n'avais jamais fait de comptabilité ni de droit. Mais on s'adapte vite et les compétences acquises pendant le lycée (en filière scientifique) ont permis d'avoir des facilités dans certaines matières comme le Système d'Information et Gestion. Le rythme de travail était soutenu (mais après la médecine je me sentais en vacances), des contrôles hebdomadaires, du travail à la maison etc. comme au lycée avec des nouvelles matières. Cependant, nous avions un accompagnement de qualité et nous étions plus que prêt pour passer les examens à la fin de l'année. La deuxième année était la plus compliquée en raison de deux matières de droit à passer (cela peut varier selon les établissements). Ainsi, j'ai travaillé tout au long de l'année et les examens se sont bien passés malgrè le stress. La troisième et dernière année était la plus intéressante avec la rédaction du rapport de stage, les professeurs sont à l'écoute et passent beaucoup de temps à nous conseiller sur sa rédaction. Ainsi, il y avait une pression supplémentaire du fait du délai, les rapports de stage étaient à rendre en mars (40 pages). Cette année je m'étais également investie dans l'association des étudiants de notre école, cela nous a permis de renforcer les liens dans la filière et montrer aux plus jeunes les différentes possibilités après le DCG, car le DSCG n'est pas la seule option (sauf si on veut devenir expert-comptable). Une fois les examens écrits passés, il y a eu l'oral du rapport de stage devant un professeur et un professionnel. Cette épreuve fait paniquer plus d'un, mais, en règle générale, elle se passe bien. L'attente jusqu'à fin août était interminable pour les résultats au DCG, mais mon travail a porté ses fruits et j'ai obtenu mon diplôme.
CELSA - parcours Marques. Je suis très satisfaite de cette école qui allie théorie et pratique. Seule école de communication gratuite, la sélection sur concours est rude mais une fois le concours réussi, nous avons le droit à des cours de qualités avec des professeurs experts dans le domaine du marketing et de la communication. La première année est très théorique pour apprendre aux élèves à avoir un point de vue ouvert tandis qu'à partir du master, les disciplines sont plus pratiques et on rentre dans le vif du sujet avec de nombreux travaux de groupes. Je ne peux que recommander de passer le concours qui ne coûte quasiment rien pour tenter d'intégrer la meilleur école de communication en France. Tu peux prendre rendez-vous avec moi pour en savoir plus.
Après avoir passé un bac ES - Economie & Social -, me voilà, plongé dans mon rêve d'adolescent : la filière Sage-Femme. Aussi loin que je puisse me souvenir, ce travail a toujours été une vocation en moi. Certain.e.s auraient préféré la médecine générale, d'autres la pédiatrie... Mais l'entre-deux, quand le médical se mêle à l'accompagnement, l'écoute, la bienveillance, la douceur : c'est la filière Sage-Femme qui se démarque. Chaque année d'apprentissage me fait aimer davantage mon futur métier. Mes projets fleurissent à foison : ouvrir un cabinet ? Faire du domicile ? Exercer en hôpital ? Il faut continuer d'avancer et écouter ses désirs pour le savoir. En Sage-Femme, tout est possible. Tu peux te spécialiser ; décider de consacrer une partie de ta vie à l'hôpital, et l'autre en libéral. Tu peux te contenter de ton diplôme, ou bien les collectionner : échographie, gynécologie, conseiller.e en lactation... Le panel de spécialisation est presque infini. Tu verras que ce métier est un assemblage de plusieurs : soins infirmiers, psychologie, sociologie, gynécologie... Et non pas que des accouchements ! Personnellement, ce que je trouve le plus beau dans ce travail, c'est participer à l'accompagnement des familles qui se construisent. Qui se reconstruisent. Qui apprennent. Qui aiment, qui chérissent... C'est commencer avec elles, un chemin si long à l'avenir. Les guider dans leur rôle de parents, qui durera - nous l'espérons -, toute leur vie. Et me voilà, à 21 ans, en troisième année déjà. Dans un autre pays, apprenant des choses tout à fait différentes du mien. France et Belgique sont voisins, pourtant les modalités sont tout aussi variables ; et c'est ce qui m'enrichi davantage. Etudes en Belgique, stages en France. Diplôme reconnu dans toutes l'UE. Quelle sera la suite ? ;)
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N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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