En effet vous avez TOUS la possibilité de partir à l’étranger. Vous manquez de financement ? Des bourses sont prévues. Vous êtes en alternance ? Il y a des formations spécialisées. Vous craignez de finir reconnu(e) par tous les livreurs de pizza de la ville ? Honnêtement, je considère que ça comme étant une victoire. En bref, à chaque problème sa solution. Mais l’ingrédient principal pour assurer votre départ, c’est votre volonté. Si vous le voulez vraiment, vous l’obtiendrez (et ça s’applique à tous d’ailleurs). Surtout, soyez positif. Ce type d’aventures est fait pour tout le monde : il y a tellement de destinations et tellement de projets de voyage différents. Donc même si vous êtes l’être humain le plus casanier du monde, vous finirez forcément par trouver le séjour parfaitement adapté à votre personnalité, aussi insupportable soit-elle 😁. De plus, la majorité des étudiants partis en mobilité reviennent remplis d’avis positifs et surtout, sans aucun regret.
Vous l’aurez compris, je suis une fervente défenseuse des mobilités internationales donc oui, je considère l'apprentissage des langues comme étant un investissement très valorisant. Cependant, tout le monde n’est pas de mon avis et je peux comprendre pourquoi. Je vous l’accorde, aller dans un nouveau pays sans aucune base peut paraître effrayant. De mon expérience, les langues ne vous bloqueront pas tant que les gens du pays sont sincèrement accueillants (les Espagnols & les Montréalais sont des vraies pépites contrairement aux Français. On est sympas hein, mais quand on veut). De plus, vous avez de fortes chances de vous retrouver avec une grande communauté francophone qui pourra toujours vous aider et qui inclut surement de nombreux bilingues confirmés. Enfin, les langues représentent un investissement car le niveau acquis en quelques mois dépasse certaines fois celui de toute une vie. En effet, la familiarisation avec la langue nationale se fait assez vite en général, surtout si vous avez déjà des bases. Pensez juste aux têtes impressionnées de vos proches quand vous rentrerez.
Ce n’est pas rassurant de partir à l’aventure seul, personne ne court dans les rues en disant « La solitude, c'est ma passion ». Pas de panique ! Il y a plusieurs moyens pour y remédier et plein de jeunes sont dans votre cas. Grâce aux réseaux sociaux, on a déjà des groupes très solidaires comme « Les Frenchies à NY » ou bien « Un Français à Londres » sur Facebook. Des afterworks/soirées pour rencontrer du monde et des bons plans étudiants y sont constamment proposés. Aussi, vous serez surpris de constater que les étudiants français Erasmus & hors Europe sont très présents. N’oubliez pas les locaux, parfois il suffit juste de faire le premier pas. Par ailleurs, créer son propre network international peut s’avérer très profitable. Non, je ne parle pas seulement des followers Instagram que vous allez gagner mais aussi des opportunités pros. Eh oui, vous allez côtoyer des gens du même domaine d'études qui pourront donner leurs conseils, et vous pistonner par la suite. Idéal pour repérer vos collaborateurs si avez déjà un projet en tête.
Le facteur travail constituera une partie de votre mobilité. Il va falloir vous ajuster à un système différent de celui dont vous avez l’habitude d’autant plus que les devoirs seront possiblement à rendre dans différentes langues. Mais une fois votre propre routine de travail adoptée, votre cerveau pourra faire place au reste : visites, fêtes, gastronomie, culture et bien plus ! Il se passe quelque chose quand des étudiants sont en mobilités qui fait qu’on est tous bien plus détendus, plus ouverts, plus heureux. Du coup, entre les soirées (et croyez-moi, y’en aura) et les découvertes de paysages, vous ne sentirez pas le travail passer. Ou du moins la charge ne paraîtra pas aussi conséquente. Néanmoins, si vous êtes de nature chaotique, pensez à anticiper car vous allez devoir faire face à de nouveaux challenges (gérer un budget, créer un emploi du temps, respecter des deadlines, remplir des documents officiels, etc.). Il est donc mieux d’être préparé à l’avance pour pouvoir profiter au maximum et optimiser ses temps de loisirs. Mais si vous êtes déjà parfaits bah, tant mieux.
Avant d’être un voyage à l’étranger, il s’agit d’abord d’un voyage personnel. Vous allez vous redécouvrir et vous surprendre et tout ça contribuera fortement à votre développement individuel. Bon, je pars un peu sur des délires de philosophies bouddhistes mais c’est plutôt véridique. Cette expérience sera donc enrichissante aussi bien sur le plan émotionnel, que social et professionnel. Et même si vous faisiez partie des rares cas qui reviennent malheureux de l’étranger, les apports sont indéniables et les leçons que vous aurez apprises vous guideront dans vos futurs choix.
Et voilà, c’est tout pour moi, merci de retenir vos applaudissements. Plus qu’une chose à vous faire : vous lancez !
PS : faîtes attention à la déprime du retour. Partir pour six mois de folie à Lisbonne pour revenir se taper les grèves "illimitées" de la SNCF à Paris, ce n’est jamais agréable.
Les licences d'Histoire de l'Art et d'Histoire à l'Université de Tours sont inscrite dans la faculté Arts et Sciences Humaines ( ASH ). Pas de paniques même si le nom peut faire peur il n'en est rien. Cela regroupe tout ce qui touche à l'étude de l'être humain dans le temps. Cette faculté regroupe ses licences : Histoire et archéologie, Histoire des arts, Musique et musicologie, Philosophie, Psychologie, Sciences de l'éducation, Sociologie et CFMI. Pour plus d'informations je transmet le lien ci dessous qui permettra aux curieux de faire un tour sur le site de la fac de l'Université de Tours. https://ash.univ-tours.fr/ N'hésitez pas à aller voir dans les autres facultés, peut-être y trouverez-vous vôtre bonheur.
Quand j'ai intégré la formation d'Ingénieur Généraliste ECAM-EPMI en postbac, j'ai de suite apprécié le système de la prépa intégrée. Cela m'a permis de m'adapter très rapidement aux études supérieures, de m'intégrer, mais aussi de me donner un accès à des associations étudiantes dès les premiers mois. Je suis maintenant en cycle ingénieur, et sous statut auto-entrepreneur grâce aux opportunités qui se sont présentées à moi. Si tu as des questions concernant cette formation ou mon parcours, n'hésite pas à aller sur mon profil et prendre rendez-vous gratuitement. Je t'appellerai avec plaisir pour qu'on puisse en parler tous les deux :)
Après avoir fait deux ans de classes préparatoires scientifique et passé plusieurs concours pour entrer dans une école, j'ai eu mon premier choix : l'EIGSI (école d'ingénieur en génie des systèmes industriels), une école généraliste. Les écoles généralistes permettent de rester ouvert sur plusieurs domaine et de ,e pas s'enfermer dans un domaine précis comme avec les écoles spécialisées. En quatrième année on choisit une dominante, les dominantes touchent chacune à des domaines différents. Ces écoles permettent aussi d'acquérir des compétence dans plusieurs branches telles que commerciale, de management. Toutefois si à la fin du cursus on veux vouloir se spécialiser c'est toujours possible !
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