En sortie de BAC, j'avais déjà affirmé et compris ma passion pour l'informatique. J'ai donc décidé de m'orienter vers une école où je pourrai apprendre de solides concepts sur le développement informatique. J'ai choisi spécifiquement l'EPITECH pour la pédagogie qui nous y est offerte. Changeant du système classique, on est au cœur d'une pédagogie par projet. c'est-à-dire que chaque mois / semaines, nous avons un projet qui tombe, et qui doit être réalisé - seul, ou en groupe - en fonction du sujet. Nous avons une date limite de rendu, ce qui nous permet de gérer nous même notre temps pour mener à bien sa réalisation.
Oui, EPITECH m'a ouvert d'immenses portes. En effet, j'avais pour projet de travailler dans l'informatique, et c'est aujourd'hui ce que je fais, bien que je sois encore étudiant. J'ai même monté ma société de développement informatique dans les technologies médicales ! Cette école m'a déjà apporté beaucoup, car la formation que l'on nous inculque est pour moi unique. On apprend à apprendre. On n'apprend pas la théorie. On fait de la pratique. Dès la fin de première année on se retrouve en stage pour 6 mois dans une entreprise (petite ou grosse, c'est nous qui décidons !). Par exemple, j'ai réalisé ma première expérience professionnelle au CNRS, dans un laboratoire de génomique.
EPITECH est un défi permanent. Pour s’épanouir dans cette école, il faut apprendre à gérer son temps. Car c'est à toi, de créer ton propre emploi du temps pour réaliser tes projets. Vu que beaucoup de ces projets se réalisent en groupe, tu dois apprendre à comprendre et gérer d'autres personnes. Ce n'est pas une chose évidente. De plus cette école pousse à s'ouvrir à des domaines tels que le business, le droit, et j'en passe, car nous sommes formés à un domaine de l'industrie totalement polyvalent.
Tout du long de ma formation, et ce depuis ma première année, j'ai cherché à apporter mes compétences au domaine médical. Pour ce faire, j'ai dû acquérir une certaine rigueur de travail, ainsi que m'ouvrir à l'apprentissage du business / marketing. Je me suis du coup forgé un profil entrepreneur et développeur, ce qui m'a permis de créer un gros réseau de contact, et par la suite, monter ma société.
C'est simple. J'étais un lycéen rêveur, mais qui ne savait pas comment concrétiser tous ces rêves. J'ai reçu des conseils en or, que je souhaite aussi transmettre maintenant, que ce soit dans le domaine de l'orientation vers l'informatique, la médecine ou entrepreneuriat (commerce, marketing ....). J'ai du aller au-dessus de mes appréhensions, mettre de côté mes peurs, me motiver, et me lancer. Vous pouvez me demandez tout ce qui vous passe par la tête, je vous aiderai de mon mieux.
Après un baccalauréat scientifique, je me suis embarquée dans la folle aventure qu'est la prépa. J'ai eu la chance d'être prise en hypokhâgne au lycée Joffre de Montpellier, c'est-à-dire en prépa littéraire. Je pensais abandonner toute vie sociale et être confrontée à une atmosphère pesante. À ma grande surprise, j'ai non seulement continué à vivre en dehors de la prépa et les élèves tout comme les professeurs ont été humains et bienveillants. J'avais certes beaucoup de travail, mais rien d'insurmontable. L'année de khâgne a été plus intense que celle d'hypokhâgne, principalement à cause des concours. Je ne regrette cependant pas mes deux années en prépa littéraire qui m'ont aidée à me trouver et qui me permettent aujourd'hui d'étudier à l'École Normale Supérieure de Lyon, chose que je n'aurais jamais pu imaginer il y a 2 ans.
J'ai eu l'occasion d'intégrer une licence 3 en sciences de l'éducation, après deux ans de psychologie et de sociologie. J'ai pu l'intégrer dans l'optique de candidater à un master MEEF professeur des écoles. Si je devais donner mon avis sur cette formation, je dirais qu'elle m'a appris des choses très importantes et utiles lorsque l'on souhaite si diriger vers les métiers de l'enseignement dans le premier degré. On y voit les grands pédagogues qui ont bouleversés l'histoire de l'éducation, de la sociologie de l'éducation, de la psychologie du développement chez l'enfant, etc. Cependant c'est une filière très généraliste, et cela peut vite devenir ennuyant. J'aurais apprécié avoir la possibilité de commencer une préparation au concours du CRPE, sachant que les enseignants s'y connaissent généralement bien, vu que cette licence reste la voie "royale" pour devenir professeur des écoles. J'espère que la maquette de cette formation évoluera en ce sens à l'avenir.
Je m'appelle Clémentine, j'ai 19 ans et je suis en deuxième année de kinésithérapie à Lisbonne. J'écris ce témoignage car ma situation vous parlera peut être. Je rêve de devenir kinésithérapeute depuis la 3ème, cette envie n'a jamais disparue bien au contraire. J'ai multiplié les recherches et les stages jusqu'au bac. Ensuite, comme la majorité des lycéens voulant faire des études de kinésithérapie, j'ai foncée tête baissée en PACES à Lille. J'ai fait environ 7 mois avant de mettre un terme à cette année qui devenait trop compliqué moralement parlant. De mars à mai 2019 je me suis focalisée sur mon orientation afin de ne pas finir n'importe où, et surtout, d'essayer de contourner cette PACES afin de faire les études de mes rêves. J'ai donc prit contact avec une connaissance (amie d'amie) qui avait un parcours similaire au mien, à quelques détails prêts (étude en dentaire), mais avec un an de plus. Elle avait intégré une université à Lisbonne et était en 1ère année de dentaire. Elle m'a beaucoup aidée, conseillée, et parlé de son université et sa nouvelle vie au Portugal. A la suite de ces nombreux échanges j'ai décidé de postuler en mai 2019 pour le cursus de kinésithérapie à Lisbonne et à Porto, grâce à un organisme qui met en relation les étudiants français et les universités portugaises. J'ai été sélectionnée pour les entretiens pour mes 2 vœux, qui se sont déroulé à Paris et toujours avec cet organisme qui faisait la liaison. J'ai passé mon entretien pour Porto début juin 2019 et celui pour Lisbonne début juillet 2019. Nous sommes le 10 juillet 2019 et les résultats tombent, je suis admise dans les 2 universités. Nous devons rapidement faire un choix et je décide d'aller a Lisbonne, qui était mon premier choix pour plusieurs raisons. Je m'était liée d'amitié avec cette amie qui m'avait énormément aidée et soutenue alors j'ai décidé de la rejoindre à Lisbonne (+ la capitale,+ le soleil, + la proximité (2h30 d'avion) + la plage à 10 km, etc). J'ai donc fait ma rentrée en début septembre 2019 avec 2 semaines de stage de portugais intensif. La 1ère année est une année 100% en français durant laquelle nous apprenons le portugais pour les années d'après. J'ai validé ma 1ère année et je suis actuellement en 2ème année de kinésithérapie (portugais). J'ai réussi à contourner le système français et sa PACES, je fais les études que j'ai toujours voulu faire et le tout au soleil dans un pays magnifique, Je ne pouvais pas rêver mieux. Alors si tu as des questions ou que mon parcours t'intéresse n'hésite pas à prendre rendez vous pour que l'on puisse échanger, je saurai être à l'écoute, répondre à toutes tes questions et te conseiller !
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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