La prépa et moi | Blog
groupe d'advisors

La prépa et moi

Jérémie PERALES
article La prépa et moi

Là où tout commence.

Par curiosité... Après mon lycée je ne savais toujours pas ce que je voulais faire de ma vie. Fier de mon bon niveau scolaire je me suis tourné vers les formations qui proposaient le plus haut niveau d'étude, à savoir, les CPGE. Même parmi ces dernières j'hésitais entre les filières MPSI/PCSI/PCSI-SI, j'ai finalement opté pour la curiosité et pris la filière PCSI-SI (qui n'existe malheureusement plus aujourd'hui).

La révélation en prépa

Ces 3 années de dur labeur mon permis de d'extrêmement gagner en maturité, d'accepter que je n'arriverais pas à trouver une vie qui regroupe tout ce que j'aime sans exception et surtout m'a aidé à comprendre ce que sont les domaines de la recherche ou même de l'ingénierie. Indispensable dans mon projet professionnel, cette formation a changé l'enfant narcissique que j'étais en étudiant avec la tête sur les épaules.

La prépa, des sciences mais surtout de l'humain

Comme je l'ai dit plus tôt. Cette formation a surtout eu un impact humain. J'ai bien sûr atteint "l'apogée" de mes connaissances dans cette période mais aucun savoir ou même métier ne vaut l'expérience sociale que l'on vie en CPGE. C'est unique et la plupart vous diront que seuls ceux qui l'ont vécu peuvent en parler et/ou même le comprendre. Mes principaux challenges durant mes années de prépas ont vraiment été d'apprendre à apprendre justement. Arriver à me concentrer, me fixer des objectifs et m'y tenir même si ça implique des sacrifices. J'ai appris à partager mes connaissances et à accepter les différences de niveau entre tous.

Le taupins heureux n'est pas celui que l'on croit

Ce qui m'a permis d'autant apprécié (et non pas réussir) la prépa est sûrement ce qui m'a aussi fait rester une année de plus: Je ne me suis jamais pris la tête avec les cours. Habitué à la réussite, j'ai été confronté à de désastreux échecs en prépa mais je ne suis pas tombé en dépression, je n'ai pas sombré dans la colère ou la revanche qui pousse à charbonner. De plus, je suis naturellement très sociable, j'ai pu ainsi faire une multitude de rencontres de personnes différentes (le panel de personnalité est extrêmement riche en prépa et, en général, on ne reste qu'entre gens d'une certaine maturité). Cela m'a donné la force d'apprécier et de continuer la prépa.

Se distinguer pour mieux comprendre

Je fais partie des rares courageux qui ont choisi de faire une prépa en 3 ans. J'ai donc une année en plus d'expérience dans ce terrible milieu. Je suis loin de "l'élève type" que l'on trouve en prépa. Je connais bien sûr la vision du taupin de base mais je peux vous apporter une vision tout autre. Mon sens humain et social permet en plus un échange de qualité dans la joie et la bonne humeur.

 


— Notre rédacteur

N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle

N’hésite pas à discuter avec nos Advisors !

Découvrir

— Notre rédacteur

N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle