Dans un monde ultra réglementé, les libertés se font discrètes.
L’évasion grâce au sport permet de se sentir hors du temps et de ses règles. Laissons alors place à des émotions encore inconnues, les frissons, l'euphorie, le surpassement de soi, les rires, les larmes, mais surtout vibrer ; vibrer ensemble dans le même but et pour les mêmes raisons. Vous me direz « ce n’est que du sport » mais pour bon nombre d’entre nous c’est bien plus que ça. Et pour moi la première.
La coupe du monde de rugby en 2011 a été pour moi, un des événements chocs comme nous les appelons. Cette défaite du XV de France dans les dernières secondes contre les irrésistibles Blacks en finale m’a littéralement, et pour la première fois, bouleversé.
Pourtant, ce sont sûrement ces moments qui nous font encore plus aimer le sport. En fait, la recherche de la perfection et de la gloire à chaque match n'est qu'utopie. La véritable mission est de donner un effort parfait du début à la fin pour ses coéquipiers. Ce n'est pas seulement gagner, la finalité de la discipline est de construire une famille. Le sport est fédérateur, il rassemble ; peu importe les milieux sociaux des individus, sur un terrain nous sommes tous au même niveau d’égalité.
Nous vibrons ensemble, il n’est plus question de couleurs de peau, de revenus ou de religions, nous sommes juste réunis autour de la même passion. Seuls les idéaux mis en avant à ce moment-là tels que la perfection, l'engagement, la compassion, la foi et pour finir, la fraternité, ne devraient donc compter. Véritable école de la vie, le monde sportif et sa pratique délivrent des valeurs essentielles dans l’accomplissement de l’éducation ; une obligation d’exemplarité basée sur un principe moral de référence. Respecter les autres et être fair play ; y compris dans le combat.
Le sport est donc l’image même d’un paradoxe puisqu’au départ il entraîne confrontation et compétition tandis que son propre fondement trouve sa source dans la cohésion et l’esprit de groupe. Gagner de nombreux matchs est faisable ; apprendre aux jeunes qu'il y a plus à vivre est le réel défi. Mais alors qu’aujourd’hui notre pays semble de plus en plus fragmenté par les horreurs qu'il a connu antérieurement avec les guerres, les génocides, les conflits politiques ou plus récemment suite à la récurrence d’attentats ; l’EURO 2016 de football a pu jouer un rôle de trêve contre l’horreur et la division. Revient alors l’espoir. L’espoir que le sport rassemble plus qu’il ne divise.
J'ai choisis cette filière pensant que j'aurais une bonne part de chimie malgré que l'on m'avait affirmer qu'il y avait peu de chimie. En première Année de cette filière j'ai pris peur au vue des nouvelles matières qui nous était proposé car je me suis rendu très vite compte que la filière était tourner sur les procédés industriels et l'apprentissage de ces procédés comme pour le fonctionnement de pompes ou de Vannes ce qui ma vraiment déplus car ce n'ai pas ce que je voulais faire... En deuxième grâce à l'option bio-procédés j'ai pu découvrir des matières comme la microbiologie ou la biochimie qui sont des matières qui vont permettre de comprendre certaines procédés biologiques et j'ai trouver ça très intéressant de plus cette option nous permet d'avoir à la fin un diplôme pluridisciplinaire très large et dans de nombreux domaines en addition à celui des procédés. J'ai réussi à être accepté en L3 de SVT malgré que j'ai fais un DUT GCGP mais le fait d'avoir fait cette option bio-procédés à permis que j'y soit intégré. Si vous avez des questions sur cette filière n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi je serai ravis de vous donner plus d'informations sur la formation gcgp option bio-procédés ;)
Eh oui, comme le dit la légende, la PACES est dure. Mais attention, ce n'est pas pour autant qu'elle est inaccessible. Personnellement je suis doublante cette année, et j'ai décidé de me réorienter, non pas parce que je n'ai pas de bons classements, au contraire, mais pour des raisons personnelles. Quand je suis arrivée en PACES, je ne voulais faire que ça et rien d'autre et je ne comprenais pas les personnes qui voulaient se réorienter. Mais maintenant, ce n'est plus le cas car je trouve ( personnellement ) que cette année si dure nous fait beaucoup réfléchir sur nous-même, nous rend plus mature et plus compréhensif de nous-même. Voilà, si tu veux en discuter ou parler de la PACES, n'hésites pas :)
La licence STAPS est une des licence les plus prisées à Strasbourg. La plupart des étudiant y entrent en croyant ne faire que du sport. C'est faux. Vous y voyez des tas de matières différentes comme les sciences et vie de la santé, la psychologie, la théorie et la pratique des différents sports, de la sociologie, de l'informatique, des langues, de l'histoire. Bref, une formation complète et très intéressante. À Strasbourg spécifiquement, les étudiants ont le droit de choisir leur option sportive, c'est-à-dire, prendre leur sport de prédilection (le Volley-Ball pour ma part), le pratiquer 2h et le théoriser 2h par semaine. C'est un gros plus dans la formation STAPS puisque c'est généralement cette matière qui remonte la moyenne des étudiants. En STAPS, en première année, il est possible de demander une équivalence pour rentrer en première année de kinésithérapeute. Seulement, il faut finir dans les cinq premiers de la promotion. Les 4 premiers seront affectés à Strasbourg et le dernier, à Mulhouse. En deuxième année, vous aurez le droit de choisir entre quatre mentions: l'Éducation Motricité (EM), l'Entraînement Sportif (ES), le Management (MS) et les sports adaptés (APAS). Celles-ci deviendront vos spécialités et orientera votre avenir. Dans la mention EM, c'est en principe pour devenir professeur d'EPS, c'est ce à quoi on vous prépare. MAIS, il sera possible de prendre une passerelle pour ne pas devenir Professeur d'EPS mais Professeur des Écoles. La mention ES propose de déboucher sur coach sportif, préparateur physique, etc. La mention MS permet de travailler en entreprises et avec des grandes marques de sport. Enfin, la mention APAS permet de travailler dans des milieux spécialisés dans la rééducation par le sport par exemple. Après la validation de votre deuxième année en STAPS, il sera possible de demander votre carte professionnelle pour être éducateur sportif. De plus, vous aurez l'équivalence BAFA.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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