L'année dernière, j'ai décidé de reprendre mes études. Tout reprendre où je me suis arrêtée. J'ai voulu voir, j'ai bien vu,j'ai profité mais j'ai aussi compris. Il y a beaucoup de choses à dire à ce sujet...Il n'est jamais trop tard pour recommencer et bien faire m'a t-on dit. À 23 ans, j'ai donc mis pour la première fois les pieds à l'université! J'ai passé un bilan de compétence avant de choisir la licence de Psychologie :) Vous voulez savoir comment j'en suis arrivée là ? Faites donc un tour sur mon blog : Dulceprissoo.canalblog.com
De nature très observatrice, j’aime réfléchir et méditer sur ce qui m’entoure. J’ai un besoin continuel de comprendre les situations complexes qu’un individu affronte et ainsi, tout en gardant un esprit ouvert et en m’appuyant sur ce que j’ai pu observer puis comprendre, j’accompagne ce dernier dans la recherche de solutions. Il m’arrive alors de reproduire cela régulièrement avec mes proches ou certaines personnes de mon entourage. Je lis beaucoup et m’informe quotidiennement sur l’actualité en général, ce qui satisfait favorablement ma curiosité et me donne la possibilité d’en faire l’usage dans des contextes variés.
J'aime apprendre et ma curiosité s'accroit chaque jour où je mets les pieds à la fac! Il est important pour moi de garder ma motivation et mon enthousiasme. Alors quelque soit les obstacles que je rencontre, la réussite doit rester en tête de mes objectifs.
L'organisation !!! Et puis aussi ma capacité d'adaptation. Sans ça de toute façon on fonce droit dans le mur! Ma bienveillance naturelle m'a été d'une grande utilité puisque dans cette formation il est primordial de ne pas se laisser aller aux jugements. J'ai aussi une facilité à m'ouvrir aux autres et à mettre mes interlocuteurs à l'aise! Pas mal pour une licence de Psychologie, non?
J’apprécie le fait de me sentir utile et de contribuer d’une façon ou d’une autre à une évolution. En plus de faire preuve d’empathie et d’écoute, je sais respecter mon entourage et chacun dans son intégrité. Je m'efforcerai donc de revaloriser l’image qu’ils ont d’eux même, repérer leurs qualités et leurs difficultés est pour moi le meilleur moyen d’entamer une démarche d'orientation.
On a accès à un master en psychologie après une licence en psychologie. Le processus pour arriver en master se fait par une sélection nationale. Les notes de la licence, les expériences professionnelles, stages et bénévolat sont regardés et appréciés. Le master en psychologie est beaucoup plus spécifique que la licence, il faut donc choisir une spécialité et être préparé à un rythme important. Je serais ravi de répondre à vos éventuelles questions à ce sujet!
Le passage du lycée à l'université peut sembler effrayant. Se retrouver dans un endroit que l'on ne connait pas, parfois sans ami peut être stressant. Lorsque je suis arrivée à l'université j'ai tout de suite chercher quelqu'un de sympa afin de faire nos emplois du temps ensemble. Manque de chance, la personne a déserté au bout d'une semaine… Cependant, pas de panique ! Tous les élèves de ta promo sont dans le même bateau que toi ! Il est important de nouer quelques liens avec des gens de ta classe afin de ne pas rester seul dans ton coin. C'est ce que j'ai fait, et j'ai trouvé mes amis actuels ! Le rythme n'est pas bien différent de celui du lycée mais il faut savoir gérer son temps sinon lors des examens c'est la chute assurée. Travailler régulièrement est la clé du succès, et je parle en connaissance de cause. Il y aura toujours des étudiants qui passeront "par chance" ou grâce aux rattrapages mais un travail régulier permet de consolider un savoir ! En bref, il faut travailler sans stress mais de manière régulière et entouré d'amis c'est toujours mieux !
Mon année en classe préparatoire ATS. Que dire dessus ? Plein de chose ! Déjà, je suis arrivée en prépa ATS après trois ans d'étude post-bac. Ceci semble anodin mais en réalité pendant ces deux années de DUT j'ai eu le temps de murir personnellement et de murir mon projet. De ce fait, il m'a été plus facile d’appréhender cette année de prépa vis à vis de la première prépa que j'avais réalisé en post-bac. Toutefois, ça reste une année de prépa ! Il y a du travail et ceux même avant d'intégrer la prépa. Je savais que mon gros point faible était le français. J'ai alors anticiper l'année sur cette matière en suivant l'actualité et en lisant l'été précédent ma rentrée en prépa. Durant l'année, j'ai réalisé les montagnes russes moralement. Il y a eu des périodes de l'année où c'était la motivation et mon rêve de devenir vétérinaire qui primé et d'autre période plus sombre. J'ai eu des moments de doute, des colles qui se sont pas forcément très bien passées, des notes qui ne sont pas plaisirs ... Toutefois, je pense avoir réussi à surmonter ces passage grâce à mon entourage qui m'a soutenue. Et surtout, je n'ai jamais complétement baissé les bras. Le secret de la prépa est de s'accrocher ! Lorsque les doutes s'installent je refaisais systématiquement un point sur mon projet pour me rappeler pourquoi j’étais en prépa. En plus, reprendre son projet c'est doublement bénéfique car cela permet de préparer au mieux l'épreuve d'entretien du concours de la voie C. Au final, si je dois donner un conseil pour l'année de prépa ATS Bio, une fois lancé dans l'année de prépa, il ne faut jamais oublier son objectif, son rêve !
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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