Connectés en permanence (réseaux sociaux, objets connectés, services en ligne…), le numérique nous accompagne au quotidien. Je dirai même qu’il a bouleversé notre manière d'exister. Il nous est d’ailleurs très difficile de nous passer de notre téléphone, ordinateur, tablette etc. Le monde du travail est également concerné par ce phénomène. Il a dû non seulement adapter ses outils de travail au numérique mais aussi repenser sa manière de travailler et, pour certains, simplement changer de métier.
Une adaptation de tous les secteurs professionnels s’est effectivement avérée indispensable au regard des évolutions actuelles du numérique. A titre d’exemples, le “smart contract”, la monnaie virtuelle avec la blockchain ou encore l’intelligence artificielle, sont autant de sujets qui doivent être accompagnés d’un cadre juridique précis afin de prévenir toute atteinte, abus ou encore vide juridique. Pour une illustration actuellement en vogue, les entreprises et organisations doivent se mettre en conformité avec un nouveau texte, le règlement général sur la protection des données (RGPD), entré en vigueur le 25 mai dernier.
Tous les secteurs d’activités sont aujourd’hui touchés par ce bouleversement technologique (justice, télécommunications, informatique, tourisme, automobile, banques, administration publique, armées, santé etc.). Signer un contrat en ligne, archiver et conserver des fichiers informatiques, protéger les données personnelles des clients et des salariés de l’entreprise… autant de problématiques qui nécessitent des spécialistes en la matière.
Dès lors, quels débouchés professionnels ? Ils sont nombreux ! C’est d’ailleurs une spécialisation en plein essor. Avocat, cadre de l’ANSSI, de la CNIL ou encore de l’ARJEL (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, Commission nationale informatique et libertés, Autorité de régulation des jeux en ligne) chargé de mission, magistrat spécialisé dans le numérique, responsable juridique dans le secteur des technologies, délégué à la protection des données (DPO) dans le secteur public ou privé ou bien… docteur en droit en poursuivant ses études par un doctorat !
En tout état de cause, c’est une belle ouverture professionnelle ! Avoir un bagage dans cette filière, qui concilie à la fois le droit et la technicité informatique, est un atout majeur et novateur pour votre carrière professionnelle à l’issue de votre cursus universitaire. Pour plus d’informations sur les métiers du droit, rendez-vous, par exemple, sur le site du Ministère de la Justice, rubrique “Métiers” afin de vous familiariser davantage sur les débouchés professionnels existants. Le droit, branche en constante évolution, est une opportunité et vous servira toujours,tant dans votre vie professionnelle que personnelle. IL se porte bien et ouvre de belles perspectives professionnelles!
La double licence histoire - études anglophones, qu'est-ce-que c'est ? D'abord, une double licence comme son nom l'indique, c'est faire deux licences à la fois, et c'est donc obtenir deux diplômes à la fin. Ça implique donc plus de travail qu'une licence classique. Pour te faire une idée, un emploi du temps en double licence correspond à peu près à un emploi du temps de lycée (environ 28h par semaine, parfois plus, parfois moins). Ce sont des études qui demandent du temps. En ce qui concerne la répartition des matières en fonction des licences, c'est sans doute la licence de langues qui te prendras le plus de temps en présentiel (cours de littérature, de civilisation et de linguistiques). L'histoire demande un peu moins d'heures en présentiel (les matières varient en fonction de l'université, à Nanterre on travaille deux périodes par semestre : 1 TD et 1 CM + une spécialité au choix). Attention à ne pas négliger le temps de travail à la maison, qui peut être conséquent. En langues, on peut vous demander par exemple des commentaires littéraires, des commentaires et dissertations historiques ou encore des exercices de grammaire. Pour ce qui est de l'histoire, il n'y a pas de secret, il faut lire beaucoup, et réviser régulièrement. Cela passe par l'élaboration de fiches de lectures ou de fiches de révisions. En ce qui concerne le travail à rendre, on vous demandera surtout des plans de dissertations et de commentaires, parfois des rédactions complètes pour les devoirs à rendre. Je vous conseille donc d'aller régulièrement à la bibliothèque universitaire. Parlons maintenant un peu de la licence d'études anglophones. C'est une licence qui vous permet de toucher à plusieurs disciplines littéraires, et ainsi de garder vos horizons grands ouverts. Il ne faut pas avoir peur de parler en public, de faire des exposés à l'oral et des présentations de groupes, ce sont des travaux communs en étude de langues. La lecture est également très importante puisque vous travaillerez sur des textes littéraires anglophones, mais aussi sur des textes historiques, des journaux etc... Vous apprendrez à traduire, à bien prononcer les mots que vous employez, à comprendre les structures grammaticales anglaises, et vous aurez également des cours de civilisation (un peu comme des cours d'histoire). C'est une formation riche ou le travail est varié, il est difficile de s'ennuyer. Il est donc important en double-licence de s'organiser de manière à aborder chaque matière et à n'en délaisser aucune. Le travail régulier est la clé de la réussite. La bibliothèque universitaire deviendra un lieu de rendez-vous régulier. Vous pourrez aussi être amener à fréquenter des musées, notamment pour votre licence d'histoire. Ces formations sont riches, et vous pourrez y trouver même vos centres d'intérêts les plus étranges (oui oui, on peut travailler sur les sorcières, l'astrologie ou encore le cirque en histoire ou en civilisation ! On peut aussi se spécialiser en littérature américaine sur les romans de Stephen King, pourquoi pas !). Les doubles licence peuvent être une bonne alternative pour les étudiants qui ne savent pas encore exactement ce qu'ils veulent faire. Et pas d'inquiétude, si l'une des deux licences ne vous plaît pas, vous pouvez l'abandonner tout en poursuivant l'autre !
Une formation général qui apporte de nombreuses bases dans tous les domaines du commerce : marketing, communication, management, comptabilité, droit des contrats, négociation, … Nous donne de nombreuses opportunités avec 4 stages à réalisés, dont minimum un à l'étranger. J'ai personnellement réalisé un stage chez Zapa (boutique de vêtement haut de gamme), chez Oxfam London (boutique de charité, articles de seconde main) et dans une galerie d'art en Floride.
Je suis actuellement en deuxième année dans un DUT technique de commercialisation orientée Tourisme et je suis le président du BDE. Le BDE c'est un bureau des étudiants c'est les gens qui anime la vie des étudiants en faisant des soirées des week-end d'intégration etc
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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