L'Histoire d'amour entre une PACES et les lunettes... | Blog
groupe d'advisors

L'Histoire d'amour entre une PACES et les lunettes...

Mathilde FRAGNE
article L'Histoire d'amour entre une PACES et les lunettes...

Ne Jamais Rien Lâcher

En 2016, après l'obtention de mon Bac en région parisienne, je suis partie à Nantes loin de mes amis pour affronter la première année de médecine. Au commencement de cette année, j'étais pleine d'ambitions et de motivations, je rêvais de succès. Le premier semestre fut périlleux car les matières étaient assez théoriques mais je continuais à m'accrocher malgré le classement qui ne suivait pas forcément. Le Tutorat et la Prépa m'aidaient tout de même à rester hors de l'eau malgré le retard qui n'arrêtait pas de s'accumuler. Je suis donc arrivée au concours blanc mais hélas le classement n'était pas au rendez vous. Malgré cela je n'est rien lâchée malgré tous les chiffres qui étaient contre moi

Savoir écouter son Coeur

C'était donc l'heure du premier concours, je ne mens pas je n'étais pas du tout confiante, mais je savais que plein de monde était derrière moi et me soutenais. Je voulais les rendre fière de moi. Puis enfin terminer, je savais déjà ce qui allait se passer... Mon classement n'était pas suffisant pour être sûr de redoubler. Je me suis donc présentée au deuxième semestre avec une toute nouvelle motivation. Cependant mes camarades de Fac ont commencé à abandonner petit à petit... De plus les matières purement médicales ne m'intéressaient pas, j'étais désemparée. Ce deuxième semestre s'annonçait impossible à continuer, j'étais seule et en plus je n'aimais plus ce que je faisais...

Le temps des doutes

Au milieu de ce semestre c'était de plus en plus dur, je sombrais dans les cours que je n'aimais pas et je me sentais terriblement seule... Je devais continuer, pour moi car je voulais pas me dire plus tard que je serais passer à côté de quelque chose. Je le devais aussi pour ma famille qui me soutenait chaque jour et qui croyait en moi. Je me suis donc accrochée tout en cherchant à côté un plan B. C'est un jour du mois de février que je me suis déplacée dans un salon de l'étudiant à Nantes. Entre tous les stands, comment faire mon choix ? Comment ne pas me tromper sur la voie à prendre ? Comment ne pas louper ma réorientation ?

Le coup de Foudre

Au milieu des stands d'écoles de commerces, d'ingénieurs, des prépas...etc il y avait un stand qui m'a attirée. Ce fut celui de L'institut Supérieur d'Optique (ISO), je me suis approchée curieuse de voir ce qu'il pouvait me proposer de différent des autres. J'ai rencontré le directeur de l'école, il m'a fait très bonne impression, il m'a tout de suite mise à l'aise et m'a parlé avec passion de sa formation. Je me suis donc laissé aller à l'écoute de son parcours. Puis il m'a présenté les deux étudiantes qui étaient avec lui, il y en avait une qui avait fait médecine comme moi mais qui n'avait pas aimée. Je me suis donc enfin sentie comprise et c'est là que se fut pour moi une évidence.

Une fin Heureuse

Je suis donc allée dans la foulée aux portes ouvertes de l'école. Ce fut extrêmement intéressant et cela m'a permis de confirmer mon choix. J'ai donc terminé médecine en allant au bout malgré une fin assez désastreuse. En revanche, aujourd'hui étant devenue une élève à part entière de l'ISO je ne regrette absolument pas mon choix. Avec du recul, la médecine m'a finalement fait devenir celle que je suis aujourd'hui. Sans cette année je n'aurais peut-être pas connu le domaine de l'optique. Rater médecine ou même une autre formation n'est jamais une année de perdue. Elle te forme à l'avenir.Comme on dit chaque évènements qu'ils soit bon ou mauvais te permet de devenir la personne que tu doit être

 


— Notre rédactrice

N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle

N’hésite pas à discuter avec nos Advisors !

Découvrir

— Notre rédactrice

N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle