Mon orientation vers le commerce s’est directement faite en fin de collège/début de lycée, d’où le choix d’un bac STMG. En effet, le fait de faire une grande école était pour moi, un choix naturel. Ainsi, pendant mon DUT, j’ai passé le concours Passerelle qui permet l’entrée dans 13 grandes écoles françaises (reconnues par la Conférence des Grandes Écoles).
Mes notes d’écrits n’ont pas été à mon avantage et m’ont valu un très mauvais classement dans l’ensemble des écoles (1900-2200ème). Les oraux m’ont permis de remonter dans les classements et de disposer de toutes les écoles que j’avais choisies. J’ai choisi le Groupe ESC Clermont pour plusieurs raisons mais la principale reste le fait d’être dans une école « à taille humaine » avec un esprit de famille prédominant.
Festiv’ En Zic / Association musicale affiliée au Groupe ESC Clermont permettant aux musiciens de Clermont-Ferrand et d’ailleurs de se faire connaître par l’intermédiaire d’un tremplin organisé chaque année. Je m’occupe actuellement de la communication de l’association (gestion des réseaux sociaux, travail en amont avec un graphiste freelance, relations publiques).
GO2C / Je suis actuellement ambassadeur de l’école, en effet, GO2C est l’association de promotion. L’ensemble des membres constitue une équipe chargée de présenter le Groupe ESC Clermont auprès des étudiants dans les salons et les établissements (lycées et supérieurs). Péninsule/ Péninsule est un groupe de musique composé d’étudiants de l’école. Nous sommes tous passionnés de musique et avons pour objectif de se produire dans des bars et salles de concert pour se faire plaisir. Le style musical du groupe n’est pas encore réellement défini puisque nous jouons, pour l’instant, que des reprises (de BB Brunes à L’Impératrice).
Je suis actuellement les cours en anglais afin de continuer à améliorer mon anglais (et surtout mon accent). J’envisage de faire une année de césure afin de me consacrer pleinement à mon futur métier pendant 1 an (6 mois en France et 6 mois à l’étranger). Ma dernière année d’école sera en alternance, pour ses avantages financiers mais aussi professionnalisants.
Je suis arrivée en licence de psychologie sans vraiment savoir quoi faire. En fait, suite à mon échec en PACES, j'étais complètement déboussolée. J'ai donc chercher quelque chose à faire de ma vie, qui ne me mettrai pas autant de pression que la PACES, et qui me permettrai d'avoir accès à un métier qui me conviendrai. J'ai donc choisi la psychologie, et suis partie de mon île (la Guadeloupe), pour étudier en Métropole. J'avais peur au début, car, sortant d'une filière technologique qui rassemble la santé et le social, je pensais avoir énormément de lacune vis à vis des cours qui seraient plutôt littéraires. Cependant, cette année m'a montré que rien est impossible avec du travail. De plus, la psychologie n'est pas, comme je le pensais, que pour les profils littéraires, mais elle peut rassembler plusieurs types de profils.
Cher-e piou-piou. Je reviens vers toi à l’aube de ma dernière année de licence de philosophie. Maintenant qu’il me reste que quelques mois de troisième années il me semblait intéressant d’en faire un bilan avec toi. Qu’est-ce que ça m’a apporté ? Des connaissances philosophies bien entendu, mais une culture générale plus vaste allant des sciences à l’art. J’ai appris à travailler, à m’organiser, à être curieuse, à lire, à prendre confiance en moi. Mes projets d’avenir ? En commençant ma première année je disais ne pas vouloir enseigner, être là juste par plaisir. Alors certes je suis encore là pour le plaisir d’apprendre mais j’ai aussi développé le goût du partage des connaissances. J’aime parler de philo, et finalement être payée pour le faire c’est le meilleur compromis. Les concours me font encore peur je le reconnais, ça sera pas des années faciles. Mais j’ai un projet de recherche, j’ai un sujet, un directeur de mémoire. Je sais enfin où je vais. Qu’en retenir ? C’est pas grave d’être perdu en première année, t’y joues pas ta vie ! Tu peux te réorienter, ou bien te laisser le temps de découvrir ce que tu veux faire comme métier. C’est pas grave si tu sais pas, on peut arriver sans projet précis. Laisses-toi vivre, apprends des choses, fais des expériences. Je te garantie que sans te mettre la pression tu trouveras plus facilement ta vocation.
Lors de la séance de TP de rentrée, les formatrices nous ont dit "on n'arrive pas en psychomotricité par hasard..." Après une année passée au sein de ces études si particulières, je comprends maintenant mieux ce qu'elles voulaient dire... Je vous propose ainsi de vous partager mon parcours, ma découverte de la psychomotricité et l'organisation du cursus en général (avec les spécificités de l'IFP d'Orléans). Bonne lecture ! 1. Une découverte plutôt tardive de la psychomotricité (mais comme on dit souvent mieux vaut tard que jamais !) Depuis toute petite, je rêve de faire un métier pour apaiser les souffrances des gens, pour trouver des solutions à leurs problèmes... C'est ainsi que de mes 8 ans jusqu'à mes 18 ans j'étais décidée à devenir psychologue. Mais ces dix années ont filé, et du jour au lendemain je me retrouve en terminale à devoir valider mon choix final. C'est à ce moment précis que tout se trouve chambouler en moi, que tout y compris ce rêve devient incertain... C'est alors que je tombe par hasard sur le métier de psychomotricien en naviguant sur mon PC... Je comprends que c'est un professionnel de santé du paramédical, axé sur la place du corps et son image dans les différents troubles. Je comprends qu'il essaye de ré instaurer les liens corps-esprits, pour rétablir une harmonie au sein du patient... J'ai alors un flash de moi en train d'exercer ce métier (alors que je n'en savais pas encore grand chose oui je sais !). Je commence des recherches plus poussées, et l'IFP d'Orléans devient mon nouvel objectif. A l'époque, on pouvait faire une fac de sciences (science de la vie/chimie) pour avoir plus de chance d'entrer à l'IFP. Ayant besoin de plus de temps pour réfléchir à ce projet, et ayant toujours envie de découvrir l'ambiance de l'Université, je décide donc d'entrer en L1 sciences de la vie/ chimie à Orléans. Après une année intense marquée par le confinement, je valide la double L1 et je suis acceptée à l'IFP d'Orléans : c'est le début d'une nouvelle aventure pour moi ! 2. Pourquoi le métier de psychomotricien me correspond ? Tout simplement car il me permet de pouvoir être dans le soin, ce fameux "care", en abordant les patients de façon globale. J'aime le fait qu'on prenne en compte aussi bien l'importance du support organique de l'Homme, son corps (pôle neuromusculaire), que son psychisme/esprit (pôle cognitif), et enfin la part émotive, sensible (pole psycho-affectif). Ainsi c'est un métier riche d'outils, de techniques, où notre créativité, notre imagination nous accompagne dans chaque prise en charge. Ainsi, les psychomot' aiment beaucoup jouer ! Ce que je trouve également intéressant en psychomotricité, c'est le côté ludique qu'on met en place, quelque soit l'âge du patient d'ailleurs. On essaie de valoriser leurs ressources et leurs capacités au maximum. Cela se retrouve dans la relation de confiance et de co-construction qu'on établit avec le patient : on n'oublie jamais que ce dernier a toujours quelque chose à apporter dans le processus thérapeutique. 3. L'organisation des études en psychomotricité Tout comme le métier, le cursus est riche (on ne s'ennuie jamais !) et se compose de trois grands temps d'enseignement : - les cours théoriques (qu'ils traitent de psychomotricité en tant que tel, de psychologie, psychiatrie, etc...) - les TP (travaux pratiques) qui permettent d'expérimenter corporellement certains concepts théoriques, de se former à certaines techniques (relaxation, toucher thérapeutique, bilans psychomoteurs...), d'appréhender des cas cliniques, et enfin d'apprendre à mieux se connaitre ! - les stages. En 1ère année ils visent à observer le développement psychomoteur (normal) de 0 à 6 ans. Ils deviennent cliniques à partir de la deuxième année. On pratique alors sur différentes populations et dans différentes lieux en 2ème et 3ème année. Le cursus se passe donc en 3 ans, avec la validation d'un DE (ou diplôme d'état) à la fin. 4. Les plus de l'IFP d'Orléans On y est 25 par promo, ce qui permet de se former au mieux, de manière presque personnalisée finalement. On peut poser toutes les questions qu'on a en tête, à tout moment. On se connait tous et toutes, et l'entraide est très présent entre nous. Tout au long de l'année, on est accompagné de manière individuelle via des entretiens pédagogiques pour voir si on se sent toujours bien au sein de la formation, du métier, dans notre vie en général... Si on a des doutes, ou si on rencontre des difficultés les formatrices sont là pour nous écouter et nous aiguiller au mieux. Côté vie étudiante, le BDE (bureau des étudiants) est très organisé et assez actif ! Des évènements nous sont très régulièrement proposés... pour ceux qui aiment s'amuser et sortir en parallèle des études c'est l'idéal ! Ces particularités permettent de créer une vrai ambiance de travail, plutôt chaleureuse et détendue. 5. Mon ressenti sur ma 1ère année de DE Au final, je ne regrette pas d'avoir quitté la fac ! Ni la psycho ! Je sais maintenant qu'il m'aurait manqué quelque chose en psychologie : cette approche globale de la psychomotricité, le plaisir et l'utilité des médiations corporelles. Avant je n'aimais pas du tout le sport, je n'aimais pas bouger mon corps, je me laissée accaparer par les vicissitudes de mon esprit. Aujourd'hui, l'image que j'ai de mon corps et de moi a changé et c'est en partie grâce à mes études. En psychomotricité, on ne se forme par seulement à un métier, on apprend à se développer personnellement. Je suis également heureuse de toutes les expériences que j'ai vécu en seulement un an... Le souvenir de l'équithérapie par exemple résonne encore en moi... tout comme les TP d'expression corporelle pour ne citer que quelques exemples. Côté travail et résultats, j'avais peur de ne pas réussir à suivre, notamment en anatomie ou en neurophysiologie (n'ayant pas fait médecine avant). Mais finalement en s'y mettant, en fournissant un minimum d'efforts (inhérents au principe des études), et avec la patience des enseignements et des systèmes d'entraide (entre étudiants dans la promo + cours en plus pour revenir sur certaines notions) on y arrive (même en sortant du bac d'ailleurs) ! Vous l'aurez compris mes études me passionnent et m'aident à m'épanouir... J'espère que ce témoignage vous aura parlé, appris des choses, peut être même intrigué... Si vous vous posez encore des questions, n'hésitez pas à me contacter via la plateforme, je serais enchantée de prendre le temps de vous écouter ! ;)
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N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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