Créée en 1999, l’ANESTAPS, Association Nationale des Étudiants en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives, est aujourd’hui l’unique organisation représentative des 67 000 étudiants en STAPS.
À ce titre, elle est devenue l’interlocutrice privilégiée des partenaires institutionnels tels que le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche et le Ministère des Sports, des partenaires sociaux et l’ensemble du mouvement sportif grâce à son expertise sur les problématiques de la filière STAPS. La défense des intérêts des étudiants en STAPS et la promotion de la filière constituent les missions premières de l’ANESTAPS.
Entièrement composée de bénévoles, la Fédération étudiante regroupe 40 associations dans son conseil d’administration qui se réunit 6 fois par an.
Son importante couverture territoriale et son fonctionnement en démocratie participative lui donne toute légitimité pour prendre des positions tout en gardant une indépendance politique et confessionnelle assumée.
De plus, l’ANESTAPS lutte activement contre toutes formes de discrimination. Elle a pour objectif la formation et l’information des représentants élus et des responsables associatifs afin qu’ils soient compétents pour la défense des droits, des intérêts moraux et matériaux aussi bien collectifs qu’individuels des étudiants.
L’ANESTAPS est également une structure œuvrant pour le développement du mouvement d’éducation populaire. Proactive, elle organise plusieurs projets nationaux pour répondre aux besoins sociétaux et promouvoir la filière aussi bien auprès des acteurs socio-économique que du grand public. Parmi eux, on compte notamment la Journée Nationale du Sport et du Handicap, Active ton Bien-Être, Solidari’STAPS, EducTour. Ses projets dépassent désormais les frontières françaises avec les Projets de Solidarité Internationale à Gahanga et au Kosovo, et le projet COME IN oeuvrant pour l’inclusion des personnes en situation de handicap dans les clubs sportifs européens.
En sortant du lycée, je ne connaissais pas l univers de l informatique. Mais après un an de formation dans ce domaine je peux dire que c est accessible à tous. En effet, avec un peu de volonté et surtout de la patience on finit par s'y faire et à comprendre les choses. Contrairement au lycée, il faut s'accrocher et travailler pour de vrai : éplucher de la documentation, participer à des talks, se tenir informés.... Pas besoin d'être un expert ! On ne vous demandera jamais de tout maitriser, mais de comprendre les choses. En fonction du domaine qui vous interresse il vous faudra être capable de vous tenir informé des avancées afin de savoir quand utiliser une solution et quand ne pas l'utiliser. Il y a de nombreux moyens d'apprendre l'informatique, mais si vous apprenez en pratiquant alors EPITECH est une bonne option pour vous : vous ferez des projets techniques et non des cours théorique.
Après avoir passé un bac ES - Economie & Social -, me voilà, plongé dans mon rêve d'adolescent : la filière Sage-Femme. Aussi loin que je puisse me souvenir, ce travail a toujours été une vocation en moi. Certain.e.s auraient préféré la médecine générale, d'autres la pédiatrie... Mais l'entre-deux, quand le médical se mêle à l'accompagnement, l'écoute, la bienveillance, la douceur : c'est la filière Sage-Femme qui se démarque. Chaque année d'apprentissage me fait aimer davantage mon futur métier. Mes projets fleurissent à foison : ouvrir un cabinet ? Faire du domicile ? Exercer en hôpital ? Il faut continuer d'avancer et écouter ses désirs pour le savoir. En Sage-Femme, tout est possible. Tu peux te spécialiser ; décider de consacrer une partie de ta vie à l'hôpital, et l'autre en libéral. Tu peux te contenter de ton diplôme, ou bien les collectionner : échographie, gynécologie, conseiller.e en lactation... Le panel de spécialisation est presque infini. Tu verras que ce métier est un assemblage de plusieurs : soins infirmiers, psychologie, sociologie, gynécologie... Et non pas que des accouchements ! Personnellement, ce que je trouve le plus beau dans ce travail, c'est participer à l'accompagnement des familles qui se construisent. Qui se reconstruisent. Qui apprennent. Qui aiment, qui chérissent... C'est commencer avec elles, un chemin si long à l'avenir. Les guider dans leur rôle de parents, qui durera - nous l'espérons -, toute leur vie. Et me voilà, à 21 ans, en troisième année déjà. Dans un autre pays, apprenant des choses tout à fait différentes du mien. France et Belgique sont voisins, pourtant les modalités sont tout aussi variables ; et c'est ce qui m'enrichi davantage. Etudes en Belgique, stages en France. Diplôme reconnu dans toutes l'UE. Quelle sera la suite ? ;)
La prépa, la prépa... on en entend beaucoup parler, elle est soit recommandée ou, à l'extrême contraire, il en est dit qu'il faut la fuir comme la peste ( ou le covid, pour être d'actualité). Déjà, il y a différentes sortes de prépa : des prépas par matières ( A/L, B/L, etc), par objectif de formation (les concours visés, les écoles visées). Ainsi on trouve une diversité de prépa : prépa super compétitive, prépa plus "chill", prépa d'un an pour rentrer dans une autre prépa. La prépa c'est une machine à vous formater pour les concours mais aussi un puits de culture générale, de méthodologie et de rigueur qui va vous accompagner toute votre vie. Quoiqu'on en dise, elle a sa somme d'avantages- malgré ses inconvénients. L'idée que l'on a de la prépa est une torture de 2 ans, avec de sales notes, des profs horribles bien que brillants et un moto de chacun pour soi. Si tu as ce préjugé, sache que bien que certains étudiants ont eu ce ressenti, ce n'est pas l'expérience de tout le monde! Cette idée intimidante pousse souvent des élèves qui s'y seraient plu à ne même pas candidater! Bien sûr, l'ambiance d'une prépa est un choix important puisque vous allez y passer, un, deux voire 3 ans mais elle ne fait pas tout. Il faut bien choisir sa prépa en fonction de ce que l'on vise : le concours à tout prix ou un bon enseignement dans de bonnes conditions? Si vous êtes déterminés pour avoir l'ENS qu'importe l'ambiance, alors foncez en fonction des classements des prépas! Si vous êtes juste à la recherche d'une bonne formation qui vous ouvrira plein de portes : parlez le plus possible aux anciens élèves et organisez vos priorités (ambiance, choix d'options, classement de prépa, l'objectif visé)! N'oubliez pas qu'une bonne ambiance n'est pas exclue d'une bonne prépa (on réussit bien avec de l'entreaide plutôt que des coups bas). Cette ambiance, c'est vous aussi qui la faites!
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec lui
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