Afin d’être dans les meilleures conditions possibles pour trouver tes stages voici quelques conseils à bien appliquer.
Tout d’abord n’attend pas le dernier moment car beaucoup d’étudiants se retrouvent chaque année sans stage à cause de leur demande tardive.
N’hésite pas à demander à ton école les établissements partenaires.
Envoi ton CV, ta lettre de motivation, tes bulletins de notes et appréciations ainsi qu’une lettre recommandée par ta directrice ou ton directeur.
Envoie tes demandes dans toute la France ou les DOM TOM ainsi qu’à l’étranger si tu en a la possibilité ceci multipliera tes chances.
N’hésite pas à relancer les structures en les contactant par mail ou téléphone.
Pour que ton entretien se déroule dans de bonnes conditions et sans stress voici quelques conseils.
Présente-toi 15 min avant afin de faire bonne impression.
Habille toi de manière convenable (pas de jeans ni de basket).
Présente tes objectifs de stage.
Présente toi en quelques lignes ainsi que tes projets futurs.
Met en avant tes qualités afin de faire la différence avec les autres étudiants.
Parle de la structure afin de montrer que tu as pris connaissance des lieux.
Au cours de tes deux années de formation tu auras dix semaines de stages en milieu thérapeutique. Le but étant de prendre en charge 3 patients et de les suivre jusqu’à la fin de ton stage.
Les premiers jours, observe la diététicienne afin de prendre tes marques.
Met en place des ateliers ou conférences en fonction de la population du service dans lequel tu te trouves.
N’hésite pas à prendre des initiatives, ton maître de stage ne pourra que te féliciter.
Durant ta première consultation c’est normal de faire des erreurs. Tu es en stage, tu es là pour apprendre.
Prends bien connaissance de toutes les informations nécessaires sur ton patient.
Durant tes stages tu devras rédiger un mémoire afin de présenter le jour de ton oral les actions que tu auras pu mettre en place au sein des différentes structures.
N’hésite pas à demander à ton maître de stage du temps pour ta rédaction.
Demande-lui de l’aide et des conseils, il est là pour ça !
Choisi des cas cliniques peu communs ainsi le jour de l’oral le jury sera content de voir que tu as choisi des cas différents de tes camarades.
Avec tous ces conseils, ta recherche de stage ainsi que le déroulement de tes stages thérapeutiques devraient bien se passer. Les stages thérapeutique sont la plupart du temps les plus dur à trouver mais si tu appliques bien tout ce que j’ai pu t’indiquer dans les paragraphes précédents tu ne devrais pas avoir de souci pour les trouver. Bon courage, et j’espère que ces informations pourront aider.
Le BTS Communication est une formation enrichissante. Je ne m'attendais pas à cela quand j'y suis entrée mais les cours sont très intéressants et peuvent servir dans tout type de poursuite de parcours. On nous apprend l'histoire de la communication et tout plein de choses mais on nous apprend surtout à avoir un bon discours écrit et oratoire, ce qui nous sert donc dans la vie de tous les jours ! Je suis en FI (formation initiale), ce qui veut dire que je dois faire deux stages dans l'année. Les cours sont rythmés par de la théorie et aussitôt de la pratique, ce qui nous aide à comprendre encore mieux ce que nous étudions. Dans ce BTS on touche un peu à tout : graphisme, écrit, oral, création, calculs, innovation etc. Ce BTS est très complet et convient à tout type de parcours : Bac L, Bac STMG, Bac pro etc. Les formateurs nous encadrent et nous aident tout le long de l'année, ce qui nous permet un bon suivi et une bonne compréhension. Si tu as d'autres questions concernant le BTS Com, n'hésites surtout pas à venir me parler ! ;)
Suite aux conseils extérieurs, j’ai « voulu » faire une prépa pour devenir ingénieur puis j’y ait survécu et en suis sorti grandit et scientifiquement qualifié. Venant d’un bac S et ne sachant pas dans quel domaine poursuivre mes études j’ai préféré choisir une classe préparatoire publique plutôt que les prépas intégrées dans les écoles d’ingénieur. En 2017 j’ai donc choisi la prépa de proximité du lycée Jean Bart à Dunkerque en filière PCSI. Au lycée je travaillais irrégulièrement comme la plupart des lycéens, mais en arrivant en prépa je me suis adapté à un nouveau rythme de travail. Je me suis pris quelques « claques » mais rien d’exceptionnel. Arrivé en deuxième année en PSI, le rythme était de nouveau plus intense mais pas beaucoup plus pour moi puisque je travaillais déjà régulièrement en première année. Vers le milieu de l’année j’ai eu quelques coups de « mou » mais j’ai su me remotiver pour les concours. Dans la prépa, ce qui est nouveau c’est le classement qui peut amener à la concurrence dans certaines prépas. Grâce au classement et aux oraux réguliers (kholles) nous sommmes très bien préparés pour le concours J’ai beaucoup muri pendant ces 2 années de prépa, et pour mon cas je ne suis toujours pas sûr de vouloir être ingénieur mais ce qui est sûr c’est que je ne regrette en rien d’avoir fait une prépa. Je ressors beaucoup d’atouts de cette formation comme les méthodes de travail, la rigueur acquise. En attendant les réponses des concours, j’ai l’intention d’intégrer une école si possible, sinon je compte faire une licence 3 dans l’environnement soit pour continuer dans cette spécialité jusqu’à un master soit pour retenter le concours l’année prochaine. La prépa est une étape très gratifiante pour s’assurer un avenir professionnel prometteur. Je conseille déjà à tous les élèves qui veulent devenir ingénieur de passer par une prépa ; et pour ceux qui ne sont pas sûr comme je l’étais, je tiens à dire que ça ne peut être que bénéfique. Même si c’est dur, c’est une bonne préparation pour la rudesse du monde du travail. Il n’y a rien à perdre alors pourquoi ne pas tenter ? Si vous avez d’autres questions n’hésitez pas à me contacter via mon profil en prenant un rendez-vous ;) Rémi LOUAGE
Étudier la langue anglaise était un rêve pour moi. L'anglais me passionne et, ce, depuis la primaire. Après un bac L, option anglais renforcé, je me suis donc dit "pourquoi pas la fac d'anglais ?". Je me suis donc lancée et j'ai été en LLCER anglais à la fac de lettres de Nancy. Les cours étaient très intéressants mais le fait d'être 40 à 50 en TD (travaux dirigés) ne m'aidaient pas à travailler. J'étais même plutôt distraite par ce que me proposaient les objets qui m'entouraient : mon ordinateur pour aller sur les réseaux sociaux, des feuilles pour écrire des histoires, des stylos etc. Et je ne parle même pas des CM (cours magistraux) où l'on est plus de 300 en amphithéâtre : c'était une cours de récréation géante avec un professeur qui tentait tant bien que mal de faire son cours. Certains regardaient des séries, des films, d'autres achetaient des fringues ou des places de concert, d'autres dormaient sur leur table etc... De plus, les cours magistraux, eh bien, plus personne n'y allait. En civilisation anglaise, il est même arrivé que l'on ne soit que neuf dans l'amphi. Avec cette ambiance, j'ai donc vite décroché. Et le fait que je sois en résidence universitaire n'aidait pas : je flippais tellement que j'en faisais des insomnies. Qui dit insomnie, dit du mal à se concentrer, et qui dit du mal à se concentrer dit : l'envie d'aller en cours n'était pas là. J'ai pris la décision d'aller aux partiels et à quelques cours mais le reste du temps je me concentrais sur mon futur projet : partir en tant qu'au pair à Londres. Je trouve donc que la fac ne correspond pas à tout le monde. Certains peuvent très bien y arriver, d'autres ont encore un peu besoin d'encadrement.
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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