L'Université de Bordeaux a ouvert à ses meilleurs étudiants une possibilité de se former des la L1 aux études à l'étranger.
Il s'agit du Parcours International, un groupe de TD dans lequel les étudiants sont sélectionnés à l'entrée.
Le Parcours International est un groupe d'étudiants d'environ 10 personnes par disciplines. Dans se programme, les TD sont dispensés en Anglais. Les professeurs restent néanmoins très ouverts aux questions de compréhension et la lange n'est plus une barrière des les premières semaines.
Les étudiants du parcours international ont accès à des cours d'anglais de plus haut niveau ainsi qu'à une mineure de leur choix. Cette mineure, choisie en début d'année, doit se rapprocher d'une discipline qui n'est pas la majeure de l'étudiant. Par exemple, si on fait une Licence mention Mathématiques on ne peut pas avoir accès à la mineure Maths. On peut se rapprocher d'autres disciplines comme l'informatique, la biologie, l'engineering, ou encore la chimie.
De plus , les étudiants du parcours international sont prioritaires pour les échanges à l'étranger en troisième année.
Au delà des cous dispensés en anglais, le groupe parcours international est soudé et constitue des groupes de travail très efficaces. A la fac, c'est difficile de rencontrer des gens qui travaillent comme nous. le parcours international ne regroupant que les meilleurs élèves permet vite de se rapprocher de personnes qui ont le même rythme de travail.
De plus, le groupe de TD parcours international reste inchangé tout le long de la licence. Au contraire les autres groupes sont mixés à chaque semestre. Cela permet donc de pouvoir conserver son groupe tout le long des études.
Dans ce témoignage, je vais vous parler du passage du lycée à la faculté. Personnellement j'ai choisi de m'écarter de mon lieu de vie habituel et donc de prendre mon propre appartement. Un changement radicale qui implique de gros efforts. Tout d'abord dans mes habitudes de vie mais aussi dans ma façon de travailler. Aller à la fac c'est savoir travailler par soi même sans avoir qui que ce soit derrière notre dos pour venir nous aider à travailler. De plus je suis en concours ce qui signifie que se faire des amitiés dans la promo est quelques fois difficile.
Les études de médecine ? Des études difficiles ? Adieu la vie sociale ? La PACES, le plus dur et après ? Je suis étudiante en 3ème année de médecine à la faculté de médecine Pierre et Marie Curie (Sorbonne Université -Paris VI) et je peux vous dire qu'avec ma petite expérience, oui ce ne sont pas des études simples mais elles sont passionnantes ! La PACES, départ de ces études médicales est dure mais nous fait apprendre sur nous même. Dans mon cas, au départ, pour réussir ce concours, je m'étais empressée de trouver LA méthode de la réussite ! Mais LA méthode n'existe pas ! Il existe plusieurs méthodes et il faut trouver celle qui nous correspond le plus ! De plus je croyais que seule la méthode comptait mais non… Il est question de motivation ou plutôt de garder cette motivation et ce n'est pas simple du tout comme le fait de ne pas se culpabiliser sur une perte de temps de travail lorsque l'on fait autre chose ou que l'on prend du temps pour soi ! De plus il faut gérer un planning d'apprentissage de cours, de révisions et ce n'est pas simple. La gestion du temps est primordiale et pour être optimal il faut gérer les 3 temps suivants : 1. Temps de travail (avec une méthode personnalisée, adapté à son profil) 2. Temps "tampon" (qui est une plage horaire vide pour rattraper son retard dans son planning) 3. Temps "ressources" (des instants où il faut décompresser, faire autre chose que travailler, quelque chose de motivant, déstressant). C'est ce que j'ai appris de la PACES et ce que j'ai transmis par la suite aux étudiants PACES à mon tour lorsque je suis devenue membre du Tutorat de ma faculté par le biais du parrainage, mais aussi dans le cadre d'un poly méthodo/bien-être et du speed-dating méthodo réalisés. Par la suite, la P2 (2ème année de médecine), c'est le temps de décompresser de la PACES, avoir plus de temps pour soi, profiter de la vie et c'est important ! C'est l'heure de l'apprentissage de la sémiologie et ça devient maintenant très concret avec le passage en stage, l'affront des premiers patients avec leur pathologies et des cas parfois difficiles. Puis tout s'enchaîne avec la D1 et le travail reprend de façon plus importante selon la faculté ! Dans la notre, nous commençons cette année là les stages de l'externat (sans être payés par contre) en plus des cours. Et là on devient plus autonome face au patient, on a un rôle parfois très défini dans certains services, faire des observations, présenter des patients lors de la "visite médicale" avec les chefs… mais aussi des rôles annexes de secrétaire médical ! On commence aussi la pathologie et les traitements de certaines spécialités et le passage dans différents stages tout au long de l'externat (jusqu'à la 6ème année de médecine) nous aide à faire le choix de notre spécialité que l'on réalise après le concours de 6ème année, l'ECN ! Mais je serai certainement dans la dernière promotion à vivre cet examen car un texte de loi vise à la suppression de concours donc je ne rentrerai pas dans ces détails ! Au final, l'année de PACES est selon moi plus dure car nous avons un concours à la fin, mais les autres années (hors P2 et D1 dans certaines facultés) sont riches en travail. Pour autant, il est essentiel de garder une vie sociale ! Ne lui dites pas adieu ! Les études de santé, pas que médecine sont stressantes, la gestion de ce stress en prenant soin de soi, en prenant le temps de faire des activités en dehors nous permettent de décompresser et même d'être plus performants ! Tout est question d'organisation et de gestion du temps. On en revient aux 3 temps cités ci-dessus qui au delà de la PACES reste la clé de la réussite de chacun si on les maîtrise bien ;)
Les études de médecine ? Des études difficiles ? Adieu la vie sociale ? La PACES, le plus dur et après ? Je suis étudiante en 3ème année de médecine à la faculté de médecine Pierre et Marie Curie (Sorbonne Université -Paris VI) et je peux vous dire qu'avec ma petite expérience, oui ce ne sont pas des études simples mais elles sont passionnantes ! La PACES, départ de ces études médicales est dure mais nous fait apprendre sur nous même. Dans mon cas, au départ, pour réussir ce concours, je m'étais empressée de trouver LA méthode de la réussite ! Mais LA méthode n'existe pas ! Il existe plusieurs méthodes et il faut trouver celle qui nous correspond le plus ! De plus je croyais que seule la méthode comptait mais non… Il est question de motivation ou plutôt de garder cette motivation et ce n'est pas simple du tout comme le fait de ne pas se culpabiliser sur une perte de temps de travail lorsque l'on fait autre chose ou que l'on prend du temps pour soi ! De plus il faut gérer un planning d'apprentissage de cours, de révisions et ce n'est pas simple. La gestion du temps est primordiale et pour être optimal il faut gérer les 3 temps suivants : 1. Temps de travail (avec une méthode personnalisée, adapté à son profil) 2. Temps "tampon" (qui est une plage horaire vide pour rattraper son retard dans son planning) 3. Temps "ressources" (des instants où il faut décompresser, faire autre chose que travailler, quelque chose de motivant, déstressant). C'est ce que j'ai appris de la PACES et ce que j'ai transmis par la suite aux étudiants PACES à mon tour lorsque je suis devenue membre du Tutorat de ma faculté par le biais du parrainage, mais aussi dans le cadre d'un poly méthodo/bien-être et du speed-dating méthodo réalisés. Par la suite, la P2 (2ème année de médecine), c'est le temps de décompresser de la PACES, avoir plus de temps pour soi, profiter de la vie et c'est important ! C'est l'heure de l'apprentissage de la sémiologie et ça devient maintenant très concret avec le passage en stage, l'affront des premiers patients avec leur pathologies et des cas parfois difficiles. Puis tout s'enchaîne avec la D1 et le travail reprend de façon plus importante selon la faculté ! Dans la notre, nous commençons cette année là les stages de l'externat (sans être payés par contre) en plus des cours. Et là on devient plus autonome face au patient, on a un rôle parfois très défini dans certains services, faire des observations, présenter des patients lors de la "visite médicale" avec les chefs… mais aussi des rôles annexes de secrétaire médical ! On commence aussi la pathologie et les traitements de certaines spécialités et le passage dans différents stages tout au long de l'externat (jusqu'à la 6ème année de médecine) nous aide à faire le choix de notre spécialité que l'on réalise après le concours de 6ème année, l'ECN ! Mais je serai certainement dans la dernière promotion à vivre cet examen car un texte de loi vise à la suppression de concours donc je ne rentrerai pas dans ces détails ! Au final, l'année de PACES est selon moi plus dure car nous avons un concours à la fin, mais les autres années (hors P2 et D1 dans certaines facultés) sont riches en travail. Pour autant, il est essentiel de garder une vie sociale ! Ne lui dites pas adieu ! Les études de santé, pas que médecine sont stressantes, la gestion de ce stress en prenant soin de soi, en prenant le temps de faire des activités en dehors nous permettent de décompresser et même d'être plus performants ! Tout est question d'organisation et de gestion du temps. On en revient aux 3 temps cités ci-dessus qui au delà de la PACES reste la clé de la réussite de chacun si on les maîtrise bien ;)
— Notre rédactrice
N’hésite pas à la contacter pour discuter avec elle
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