Sapeur-Pompier Volontaire depuis 9 ans, j'écris cet article pour te prouver que mixer études et engagement, c'est tout à fait possible ! Tu hésites encore ? Devenir SP te permettrait pourtant d'aider les autres et te rendre utile, de faire le plein d’adrénaline, en étant confronté à des missions diverses et variées, d'apprendre les gestes qui sauvent et secourir les personnes en danger, de faire des rencontres extrêmement enrichissantes, ...
Deux options s'offrent à toi : 1) Devenir Jeune Sapeur-Pompier (JSP) - [Parcours que j'ai choisi] Dès 13-14 ans, tu peux commencer la formation. Les cours sont extrêmement détaillés et complets, ce qui te permet, au terme de la formation, d'être au top en intervention ! 2) Faire un stage de 4 semaines dès tes 16 ans pour intégrer directement une caserne. Deux semaines de formation incendie, une centaine d'heures de formation secourisme (pas de panique, c'est pas tant que ca) et te voilà SPV !
Je vous rassure, mon activité de SP ne m'a jamais empêchée de continuer mes études ! En se mettant disponible certains soirs, week-ends ou pendant les vacances, on arrive parfaitement à jongler entre les 2 activités. Bien sûr, au début j'avais peur que cela empiète trop sur mes cours. Finalement, il suffit de s'organiser : il y a un temps pour tout. Les études passent d'abord, alors on évite les gardes la nuit pour éviter la fatigue le lendemain, mais on trouve toujours le temps de se mettre disponible pour aider la population. Et au final, être pompier m'a beaucoup aidée dans ma vie professionnelle !
Non ! Je me souviendrai toujours de cette phrase, prononcée par une de mes charmantes professeures : "Toi ?! Pompier ?! Mais tu n'as pas du tout le physique !" Effectivement je n'avais pas (et n'ai toujours pas !) le physique d'un rugbyman. Et bien, sachez que je n'ai rien lâché. Et j'ai bien fait. Alors sois motivé et dépasse-toi : tu y arriveras !
Sois passionné, dépasse-toi et travaille en sécurité !! Si tu as vraiment l'envie d'aider les autres et un réel intérêt pour tes études, tout se passera très bien ! :)
Hello, j'écris ce post pour vous partager mon expérience en tant qu'étudiante en droit. Je suis en 2ème année à l'Institut Catholique de Toulouse. Au lycée, j'étais dans une filière scientifique, qui était, à mon sens, une filière plus générale. Puis, vint le jour où j'ai dû choisir mon orientation post-bac. J'ai donc opté, après beaucoup de réflexion, pour la fac de droit. Etant encore qu'en 2ème année, j'
En choisissant d'aller en PCSI, vous choisissez une filière un peu plus équilibrée que la MPSI où les maths auront une place importante dans votre emploi du temps. Un des avantages de la PCSI est le fait d'avoir un professeur de chimie à part contrairement aux autres filières où le professeur de physique s'occupe aussi de la chimie. Si vous comptez aller en PC en 2eme année, la PCSI est faite pour vous, si vous comptez aller en PSI il y a d'autres possibilités: la MPSI et la PTSI (il est très déconseillé de faire une PSI après une PTSI). Si vous avez fait une PCSI avant votre PSI, vous aurez un avantage en chimie non négligeable car au concours Mines-Ponts il y a un épreuve de chimie à l'écrit pour les PSI, les PCSI font plus de TP en Sciences de l'ingénieur et enfin ils sont plus à l'aise en physique. L'avantage des MPSI existe surtout en mathématiques et certains ex-PCSI ont du mal en mathématiques en PSI. En PCSI, j'avais 10H de maths, 8H de physique 4H de chimie 2H d'anglais et 2H de français-philosophie et 4H de SI au premier semestre. Je suis arrivée dans ma prépa en pensant que j'irai en PSI car je n'aimais pas beaucoup la chimie en terminale, mais j'ai fini par changer d'avis en voyant que la chimie de prépa était beaucoup plus intéressante. Au début je n'avais pas vraiment de méthode de travail ni de rythme particulier, je travaillais tous les soirs en semaine jusqu'à minuit, je dormais 7H par nuit, je ne travaillais pas le samedi après le DS du matin et je reprenais le dimanche vers 10H ( tout dépendait du travail à faire pour la semaine d'après). Je m'en sortais avec des notes au dessus de la moyenne et je me disais que ça allait, mais au second semestre, avec la fatigue sûrement, je n'arrivais plus à tenir aussi tard le soir, à 22H30 j'étais déjà fatiguée. Mais j'ai réussi à utiliser comme il fallait les manuels de maths et de physique que j'avais achetés en début d'année. Travaillez régulièrement, profitez des vacances pour vous reposer et rattraper votre retard et surtout, travaillez en groupe pour avancer plus vite et et ne pas perdre trop de temps à bloquer sur un exercice ou un DM. Et surtout, n'abandonnez pas, c'est dur pour tout le monde, mais à la fin vous ne le regretterez pas.
Après avoir obtenu mon BAC SVT spé maths mention bien, j'ai intégré une classe préparatoire BCPST au lycée Champollion de Grenoble. La marche entre le niveau de mon lycée et le niveau prépa était très grande. En effet, je venais d'un petit lycée d'un niveau moyen, contrairement à d'autres qui venaient de lycées internationaux ou de très bons lycées. Nous ne partions donc déjà pas à armes égales. Les premiers mois se sont plutôt bien passés, très durs évidement et je n'étais pas dans les meilleurs de ma classe, mais je travaillais dur pour remonter la pente. Seulement, mes résultats ne décollaient pas. Je travaillais donc plus. Je dormais généralement de 20h30 à 4h du matin, je travaillais avant d'aller en cours pour préparer les DS, interros ou khôlles du jour. Je travaillais également en rentrant le soir, bref, je ne faisais que ça. J'ai fini par m'épuiser, physiquement et mentalement, c'est ce que l'on appelle un burn out. J'ai compris plus tard que j'avais essayé de travailler énormément avec des méthodes qui n'étaient pas suffisamment efficaces. Cette période a été très dure pour moi, mais je ne la regrette pas. En effet, j'ai appris à me connaitre : connaitre mes besoins, mon fonctionnement, connaitre ce dont j'ai envie aussi. Il y a des choses positives à retirer de chaque expérience, même les plus rudes. La classe préparatoire ne correspond pas à tous les profils, c'est mon cas, et ce n'est pas grave ! J'ai ensuite rebondi en intégrant un DUT Génie Biologique option Analyses Biologiques et Biochimiques à Montpellier et je suis ensuite entrée dans la meilleure école d'ingénieurs en agronomie de France par un concours parallèle. Ce qui est drôle au final, c'est que je me retrouve dans la même école que certains de mes amis avec qui j'étais en classe prépa ! Comme quoi, la prépa est certes la voie principale pour intégrer les grandes écoles, mais il existe beaucoup d'autres voies possibles ! Pour conclure, je dirais que la prépa est à la fois la pire et la meilleure chose qui me soit arrivée dans la vie. Même si ça a été une période extrêmement dure pour moi, j'en suis ressortie grandie. Je pense qu'il est important lorsque l'on est au lycée d'apprendre à se connaitre : ses besoins, méthodes d'apprentissage, résistance au stress et à la pression... Afin de bien choisir la filière post bac qui nous correspond.
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
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