Depuis quelques années maintenant, beaucoup de propriétaires font le choix d’héberger un étudiant à leur domicile en échange de services et d’un loyer symbolique.
Plus qu’une simple tendance, cette solution semble convenir aux deux parties qui y voient un moyen de lutter contre l’isolement et contre le mal-logement.
Alors qu’une colocation classique repose sur le partage d’une habitation et du loyer, la cohabitation intergénérationnelle repose sur la mise à disposition d’un espace — généralement une simple chambre d’une superficie de 9 m² au minimum + un accès libre aux parties communes comme la salle de bain, la cuisine et les WC — à un·e jeune dans l’habitat d’un·e senior.
La location de la chambre est effective contre un loyer modique et l’échange de menus services.
Il n’y a pas de montant prescrit, mais la somme demeure toujours modeste.
Tu peux vivre cette expérience de cohabitation intergénérationnelle selon 3 types :
Une colocation qui te fournit un logement gratuit en échange en présence et d’une aide au senior dans certaines tâches ménagères.
Une colocation avec une chambre à loyer modéré : tu es alors libre de ton temps, mais tu dois être présent·e pour aider la personne âgée dans des tâches définies.
Une colocation à loyer classique : tu as accès à une chambre individuelle et es libre et indépendant. Le senior perçoit, quant à lui, un complément de revenu.
La cohabitation intergénérationnelle s’appuie définitivement sur des notions de solidarité et d’entraide.
En tant qu’étudiant·e, tu es hébergé·e et t’engages à aider et à accompagner la personne âgée qui t’héberge dans ses tâches du quotidien : préparation des repas, assistance informatique ou admirative, courses alimentaires, aide au ménage.
Tu garantis, enfin, des horaires de présence à certains moments de la semaine.
La colocation intergénérationnelle répond aux problèmes de logements des jeunes et permet de lutter contre l’isolement des personnes âgées.
C’est un superbe atout pour combattre la fracture intergénérationnelle.
Si tu t’engages dans la cohabitation intergénérationnelle, il faut savoir que ce mode de vie repose surtout sur des règles de vie qui t’engage toi et la personne âgée.
Un contrat peut définir tes tâches ponctuelles ainsi que les temps de présence au domicile du senior.
Certaines règles sont toutefois à observer :
La personne âgée doit avoir 60 ans ou plus et être propriétaire de son logement et y résider.
En tant que locataire, tu dois avoir moins de 30 ans.
Pour le loyer, la législation française indique une « contrepartie financière », c’est-à-dire qu’il est fixé librement au même titre que la durée de ton contrat. Cette somme doit rester modeste dans une logique d’entraide et d’arrondissement de fin de mois pour le senior.
Les avantages de la cohabitation intergénérationnelle
S’adressant particulièrement aux personnes âgées de plus de 60 ans, propriétaires de leur bien et disposant d’une pièce libre dans leur habitat, la cohabitation permet à des étudiants, des apprentis, des stagiaires ou même des salariés de moins de 30 ans de bénéficier d’un logement à un tarif plus qu’abordable.
Pour le senior, c’est l’assurance d’éviter d’être isolé une grande partie du temps.
Il·elle va se sentir utile en te proposant une chambre et ne se sentira pas en difficulté de te demander de lui rendre quelques services.
C’est l’occasion pour le senior de partager une expérience moderne avec toi tout en obtenant un complément de revenus en fin de mois.
Pour toi, c’est l’opportunité de trouver un logement agréable, généralement bien situé à un prix plus qu’avantageux.
C’est une aventure incroyable et inédite avec un senior qui va t’enrichir sur le plan personnel.
Pour te reposer ou travailler au calme, pour vivre dans une atmosphère familiale et conviviale, la cohabitation intergénérationnelle va t’apporter énormément.
Sources :
Quels sont les critères pour choisir une école de commerce? Quand on sort de prépa, on ne choisit pas vraiment. Le 1er critère que tout le monde regarde pour 80% des étudiants, c’est le classement. Après une sélection se fait sur celles qui proposent des bi-cursus, et puis bien sûr les critères géographiques et facilités d’accès. Pour ceux qui intègrent des bachelors après le bac, je dirai: les partenariats avec les entreprises la qualité du réseau le dynamisme du directeur pour faire venir dans son école des intervenants extérieurs et le rayonnement local de l’école l’ambiance et la vie étudiante Il ne faut pas hésiter à se renseigner auprès d’étudiants qui ont fait cette école ou qui y sont encore. Recueillir des feedbacks est important! Quels sont pour toi les facteurs clés de succès pour intégrer une école? Il faut d’abord se poser la question prépa ou pas prépa? Pour intégrer une prépa, il ne faut pas être asphyxié par le travail en terminale, il faut être prêt à travailler beaucoup. Si l’on n’a déjà donné le maximum en terminale, mon conseil c’est de ne pas aller en prépa. Il y a des bachelors qui sont très bien et permettent par la suite des admissions parallèles en Grande Ecole. Pour intégrer une école de commerce il faut être généraliste, être multi-discipline, aimer travailler toutes les matières mais aussi s’intéresser à l’actualité. Pour avoir l’écrit en prépa, il faut travailler beaucoup. Tout ce qui peut fait sortir du lot lors des oraux c’est : avoir une histoire à raconter affirmer ses idées une originalité, une passion un projet Il ne faut pas baratiner, il faut être dans le concret. Faut-il avoir une projet professionnel pour intégrer une école de commerce? Il faut avoir de la matière à raconter. Il faut avoir réfléchi à un projet et savoir l’expliquer même si c’est pas complètement construit. Il faut aimer les échanges, l’entretien et intervenir en public. Quelle sont les qualités nécessaires pour réussir son parcours en école ? chaleur humaine « niaque » ténacité enthousiasme qualités interpersonnelles empathie Tes recommandations aux étudiants qui souhaitent intégrer une école de commerce? Privilégier les parcours en alternance pour rentrer très vite dans le monde professionnel. Je rajouterai qu’on est très tenté en école, de profiter de tout ce qui est proposé (associations, projets, vie étudiante) surtout quand on sort de prépa. Donc mon conseil, c’est de ne pas oublier de s’investir dans les cours et de capitaliser. Il faut développer des compétences annexes qui vont faire la différence sur le marché de l’emploi (montage vidéos, digital, blog…). Il faut monter des projets intéressants (entrepreneuriat par exemple) qu’on pourra valoriser par la suite.
Après mon bachelor en école de commerce, j'ai décidé de me réorienter un peu en choisissant le domaine de la communication. J'ai passé le concours d'entrée de l'ISCOM avec de nombreuses matières et un entretien de motivation et je l'ai obtenu. J'ai effectué une troisième année avant de me lancer dans le master car je n'avais pas assez de bases en communication pour débuter directement un master. La remise à niveau ne fut pas si complexe car plusieurs étudiants étaient dans mon cas et le programme était donc adapté. A l'ISCOM, il y a beaucoup de travaux en groupe ce qui permet de découvrir les personnalités, les compétences de chacun et de s'entraider. Le stages sont aussi présents et j'ai eu de très bonnes expériences dans chacun d'entre eux. En 4ème année (master 2), j'ai eu l'occasion de réaliser un mémoire ayant pour sujet le street marketing et les millennials. Enfin, en 5ème année, le programme n'est plus en initial mais en alternance ce qui est un réel atout pour la formation. Une synthèse est à rédiger, dans le même esprit que le mémoire mais plus diriger comme un problème à résoudre au sein de l'entreprise dans laquelle on réalise son alternance. Mon sujet fut : La RSE et le secteur du BTP. Prends gratuitement rendez-vous avec moi et je pourrais t'expliquer plus en détails mon expérience à l'ISCOM.
J'ai eu mon bac au rattrapage et je n'étais pas sûre de ce que je voulais faire mais j'étais attirée par le marketing. J'ai donc rejoint l'EGC à Valence (Ecole de Commerce et de Gestion) en passant le concours d'entrée et je l'ai eu. Je me suis entraînée par avance car c'était la seule école dans laquelle je souhaitais aller pour de nombreuses raisons comme la taille de l'école, l'organisation, les compétences que je pouvais acquérir,... Les stages ont été l'occasion de me plonger dans l'univers professionnel et j'ai fait le choix de partir à l'étranger pour deux d'entre eux (Dublin et Calgary, Canada), c'est une décision qui m'a permis de mûrir, de progresser en langues mais aussi sur le plan professionnel en terme de maturité. J'ai terminé mon Bachelor à l'EGC en 2016 que j'ai eu avec 14 de moyenne. L'EGC fut une excellente expérience pour moi. Si tu as des questions concernant cette formation, les écoles de commerce en général, les stages à l'étranger, ou mon parcours, n'hésite pas à aller sur mon profil et prendre rendez-vous gratuitement. Je t'appellerai avec plaisir pour qu'on puisse en parler tous les deux :)
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle
— Notre rédacteur
N’hésite pas à le contacter pour discuter avec elle