Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

94 résultats correspondants à "" :

Noémie, 23 ans

Design, Création industrielle

Salut à toi qui te prend des taqués là où tu veux aller, " Sache qu'il ne faut pas t'arrêter à un NON, dis-toi que tu peux aller encore plus loin et faire ce qu'il te plait ! " Pour ma part c'est ce qu'il m'est arrivée plus d'une fois : qu'on me dise NON. NON car on ne savait pas où me diriger après le collège sur ce que j'aimais faire : "Ah tu aimes la déco, c'est bien ! Mais.. j'y connais rien" ou le "Ah c'est bien, tu sais ce que tu veux faire déjà, mais tu vas faire quoi comme Bac ?" NON car je n'avais pas une moyenne assez élevé aller où je veux : "Ah mais c'est bien 16, mais nous nos élèves ils ont 18 pour ce Bac" ou "Ah tu n'as que 16, essaye de revenir quand tu auras 18 en 2nd dans ce cas" Du collège jusqu'au lycée, on n'a pas su me guider, m'aider ou m'accompagner vers là où je voulais aller. J'ai du faire mon chemin à moi, trouver des solutions allant jusqu'à X, Y voir même Z en cas où ça me marchait pas. Mais aujourd'hui, je ne regrette rien ! Je ne regrette pas les choix que j'ai fais pour arriver là où j'en suis. Je ne regrette pas d'avoir mis des jours et des jours pour enfin trouver ma voie. Je ne regrette pas d'avoir acquérir des compétences comme une autonomie et une ambition hors paire. Oui je ne regrette pas le temps passé à mettre pris des NON en pleine face, pour aujourd'hui être heureuse de ce que je fais. Alors oui, tu qui te pose un millier de question sur ce qu'il en est de ta vie, de tes études, de ton futur ; ne lâche rien ! Car même si ça m'est du temps, un jour tu souriras en voyant tout ce que tu as accomplit sans l'aide de personne.

Sarah, 20 ans

BTS Négociation et digitalisation de la relation client (...

Le BTS NDRC est une formation de niveau bac +2 qui forme des professionnels de la relation client. La formation est divisée en trois grandes parties : 🤝​ La négociation commerciale : cette partie de la formation nous apprend à négocier avec les clients, à comprendre leurs besoins et à leur proposer des solutions adaptées 💻​ La digitalisation de la relation client : cette partie de la formation nous apprend à utiliser les outils digitaux pour interagir avec les clients, à créer des contenus marketing, créer un site internet, gérer les réseaux sociaux... 🗃️​ La gestion de la relation client : cette partie de la formation nous apprend à gérer les relations clients, à suivre les dossiers clients et à résoudre les litiges... La formation est très complète et nous donne toutes les compétences nécessaires pour travailler dans le domaine Marketing Digital et relation client. Les cours sont dispensés pour la plupart par des professionnels su secteur, ce qui nous permet d'avoir un œil extérieur au travail théorique

Lola, 23 ans

Journalisme

Bonjour à tous, je m'appelle Lola, et je suis actuellement étudiant en journalisme. Aujourd'hui, je partage avec vous un aperçu de mon parcours au cœur du monde passionnant de la presse et de la communication. Tout a commencé avec une fascination pour les histoires. Les histoires de personnes, de lieux, d'événements. Le journalisme m'a appelé, m'a attiré avec la promesse de donner une voix à ceux qui n'en ont pas, de raconter des récits qui méritent d'être entendus. C'est cette passion qui m'a conduit à plonger tête première dans les études de journalisme. Les cours ont été, sans aucun doute, captivants. Des enseignants qui sont eux-mêmes des professionnels chevronnés, partageant non seulement des théories, mais aussi leurs expériences du terrain. Les défis étaient présents à chaque coin de rue, que ce soit en rédaction, en reportage sur le terrain ou même en conception graphique. Mais chaque défi a été une opportunité d'apprentissage. Les délais sont sacrés dans le monde du journalisme. Rédiger un article dans un délai serré, réaliser un reportage sur le vif, sentir l'adrénaline monter avant une interview cruciale - tout cela fait partie du quotidien. C'est une pression stimulante qui pousse à donner le meilleur de soi-même. L'un des aspects les plus enrichissants a été les pratiques sur le terrain. Sortir de la salle de classe et se retrouver sur le terrain, à la rencontre de personnes réelles, à fouiller des sujets intrigants. C'est là que la théorie se transforme en réalité. Le journalisme évolue avec la technologie, et c'est passionnant. Apprendre à utiliser les outils numériques, maîtriser l'art de la vidéo, comprendre les médias sociaux - c'est une aventure qui intègre le meilleur de l'ancien et du nouveau. Ce qui m'a vraiment marqué, c'est l'esprit de communauté. Les collègues deviennent une sorte de famille journalistique. On se soutient, on s'encourage mutuellement, et ensemble, on grandit en tant que futurs conteurs de l'actualité. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés. En somme, les études de journalisme sont une aventure en constante évolution. C'est un parcours où l'on apprend, où l'on se confronte, où l'on grandit. Si vous avez une passion pour raconter des histoires, pour être le témoin de l'Histoire, alors le journalisme est un chemin qui vous ouvrira des horizons insoupçonnés.

Paul, 27 ans

Management et commerce international

Mon parcours académique à l'étranger a été une expérience inoubliable qui a profondément enrichi ma vie personnelle et professionnelle. Lorsque j'ai décidé de poursuivre mes études à l'étranger, le choix de l'université et du programme était d'une importance cruciale. J'ai opté pour le programme de Management et Commerce International, car il semblait être le choix parfait pour développer mes compétences et ma compréhension du commerce mondial. Ma décision de quitter mon pays natal pour poursuivre ces études à l'autre bout du monde, à l'université d'Hobart en Tasmanie, a été l'une des meilleures que j'ai jamais prises. L'université d'Hobart m'a offert un environnement académique stimulant et diversifié. Les professeurs étaient hautement qualifiés et engagés, et ils ont partagé leur expertise dans divers domaines du management et du commerce international. J'ai particulièrement apprécié la manière dont les cours étaient conçus pour combiner la théorie avec des études de cas pratiques, ce qui m'a permis d'acquérir une perspective approfondie et holistique du commerce international. Une autre facette exceptionnelle de mon expérience à l'étranger a été l'opportunité de travailler avec des étudiants du monde entier. La diversité culturelle de ma classe a enrichi nos discussions en classe et nos projets de groupe. J'ai pu comprendre les nuances et les défis du commerce international à partir de multiples perspectives culturelles, ce qui est une compétence précieuse dans le monde globalisé d'aujourd'hui. En dehors des cours, j'ai également eu l'occasion de participer à des stages et à des événements de réseautage qui ont renforcé ma compréhension pratique du commerce international. Ces expériences m'ont aidé à développer des compétences essentielles en gestion, en négociation et en communication, qui seront inestimables dans ma future carrière. En résumé, mon expérience en Management et Commerce International à l'université d'Hobart a été une période de croissance personnelle et professionnelle. J'ai acquis une solide base académique, des compétences interculturelles et une perspective mondiale qui m'ont préparé pour un avenir prometteur dans le domaine de la finance et du commerce international. Je recommande vivement cette expérience à tous ceux qui cherchent à élargir leurs horizons et à se lancer dans une carrière passionnante dans le monde du commerce mondial.

Line, 24 ans

Droit

Ma première année de droit à Assas a été pleine de rebondissements mais j'en tire globalement que du positif. Certes, les études juridiques demandent une quantité importante de travail mais cela n'est pas insurmontable, loin de là ! J'ai adoré les cours magistraux notamment des majeures car les professeurs étaient aussi éloquents que passionnés. Les chargés de TD étaient bienveillants et disponibles. En ce qui concerne les matières complémentaires, j'ai été un peu déçue en raison des modalités qui ne nous permettaient pas d'y prendre goût. Toutes fonctionnaient sur la base de l'apprentissage par coeur. Enfin, en dehors des cours, il y a une multitude d'associations et d'activités proposées, ce qui nous permet de rencontrer de nouvelles personnes et de décompresser.

Mélanie, 23 ans

Sciences et technologies

Après mes deux années de classe préparatoire, je suis entrée à l'IPSA sur concours. Je suis arrivée à Toulouse, mais c'était pendant le covid, donc je n'ai pas pu vraiment profiter de la vie étudiante la bas. En terme de cours, c'était assez dense mais très interressant avec des profs à l'écoute et gentils. Pendant la troisième année, il faut choisir ta filière principale entre Systèmes et Véhicules. J'ai pris système pour pouvoir me spécialiser dans l'informatique et les systèmes embarqués. Une fois la troisième année finie, j'ai fait mon semestre à l'étranger à Barcelone (premier semestre de la quatrième année), où j'ai étudié les sciences de l'ingénieur aérospatial. Finalement, j'ai du partir à Paris pour finir ma quatrième et cinquième année d'école d'ingénieur car ce n'était pas encore possible à Toulouse. Une fois arrivée à Paris, j'ai choisi la filière Espace Lanceurs et Satellites car je voulais absolument travailler dans le spatial. La vie à l'école s'est bien déroulé, j'ai eu l'occasion de faire beaucoup d'activités extrascolaires tout en travaillant pour réussir les partiels. Maintenant, je suis en fin de 5ème année à l'IPSA, en stage chez l'ONERA, et je suis très épanouie.

Manon, 24 ans

Langues, littératures & civilisations étrangères et régio...

En tant qu'étudiante en Licence LLCER japonais à l'université, je suis constamment captivé par la richesse et la beauté de la langue et de la culture japonaises. Chaque jour, je suis immergé dans un monde de kanji et de grammaire complexe, mais passionnante. Les cours de japonais sont à la fois stimulants et gratifiants, grâce à des enseignants passionnés et compétents qui m'encouragent à repousser mes limites linguistiques. Mais ma formation ne se limite pas à l'apprentissage de la langue. J'ai également eu l'occasion de plonger dans la littérature japonaise classique et contemporaine, de découvrir des chefs-d'œuvre littéraires qui reflètent l'âme et l'histoire du Japon. Ce parcours universitaire me permet de développer non seulement mes compétences linguistiques, mais aussi une compréhension profonde de la société et des valeurs japonaises. Chaque jour, je me sens privilégié d'explorer un monde si riche et complexe. Avoir fait une Licence LLCER japonais est une aventure qui m'a ouvert les portes d'un monde fascinant. Cela a façonné ma perspective, élargi mes horizons et m'a donné une passion inébranlable pour la langue et la culture japonaises. Je suis reconnaissant(e) de pouvoir poursuivre cette formation et j'ai hâte de continuer à approfondir mes connaissances et à partager ma passion pour le Japon avec les autres."

Sara, 19 ans

Prépa Concours IEP - Sciences Po

Bonjour, Cette année, j'ai effectué un double cursus en faculté de droit et en classe préparatoire au concours sciencespo. Ce fut une année dure en émotion. Je suis une bosseuse et j'ai choisi cette voix, par ailleurs, je me suis souvent remise en question. En plus de la charge de travail conséquente, la charge mentale est démentielle. Il est nécessaire de se concentrer et de travailler de manière organisée. Néanmoins, il ne faut pas s'oublier. Ainsi, il est essentiel de se retrouver en famille ou encore entre amis. De plus, faire des activités qui nous correspondent permet de s'échapper pendant un instant. J'ai tout donné afin de ne rien regretter.

Océane, 26 ans

Gestion des ressources humaines des pme pmi

J'ai effectué ma Licence Professionnelle en Gestion des Ressources Humaines à l'Université de Saint Quentin en Yvelines sur le campus de Montigny le Bretonneux. J'ai beaucoup aimé cette formation qui était en partenariat avec l'ESSYM. De ce fait, nous avions des professeurs d'universités ainsi que des intervenants professionnels qui nous ont également beaucoup appris en nous partageant leurs expériences professionnelles. Durant ce diplôme, nous avons étudiés les matières suivantes : - Evolution des RH - Gestion des personnels et des compétences à l'international - Management organisationnel - Droit du travail individuel - Les outils de recrutement et d'intégration - Relation avec les administrations et organismes sociaux - Langue et communication interculturelles - Management d'équipe et individuel - Anglais avec passage du TOEIC Ce diplôme a été très formateur pour moi car nous avons mis en pratique les connaissances théoriques apprises durant les cours ce qui permet de mieux retenir. De plus, la professeur d'anglais nous faisait une préparation au TOEIC, que nous avons passé à la fin de l'année scolaire ce qui est un avantage sur le CV.

Mathilde, 23 ans

Architecture, urbanisme, paysage

J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...