Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

326 résultats correspondants à "" :

Coralie, 24 ans

Administration, gestion et médiation culturelle

2 années de master en direction de projets ou établissements à l'institut Denis Diderot à Dijon. Une première année intense avec beaucoup de cours et beaucoup de notions : droit, comptabilité, budget, communication, marketing... Ce master permet d'acquérir l'ensemble des compétences pour travailler dans la culture à tous les niveaux (administration, relations publiques...). Les rencontres avec les professionnels nous aide à connaître le monde de la culture ainsi que de commencer à établir un réseau. Le stage en master 1 dure entre 4 et 6 mois, il permet d'affiner nos ambitions. La deuxième année de master est en alternance. Le rythme est de 2 semaines de cours, 2 semaines d'entreprises.

Constance, 24 ans

Métiers du web et de la médiation numérique

Hello! Aujourd'hui j'ai terminé mon master 1 mais dans dans ce témoignage, je vais te parler de ma licence.😉 Je me suis orientée vers une licence de LEA parce que ce que j'aimais par dessus tout au lycée, c'était l'allemand !😁 Je suis donc entrée à Paris Diderot (actuelle université de Paris). Au départ, je me suis plutôt bien acclimatée à l'université. J'aimais beaucoup les bibliothèques universitaires et je me suis fait quelques amis assez rapidement. Cette licence ne proposait pas de cours d'économie ni de gestion et peu de droit mais beaucoup de cours de langue (cours d'oral comme des cours d'écrit) ainsi que des cours de communication, de linguistique et de traduction. C'est la raison pour laquelle, j'ai effectué un transfert de dossier vers la LEA de la Sorbonne (Sorbonne Université) en fin de L2. Là bas, les cours y étaient beaucoup plus diversifiés, avec beaucoup plus de matières appliquées. Dans ce témoignage, j'abrège pas mal vu que je ne peux pas tellement trop développer si tu n'aurais plus de questions à me poser! Blaque à part, si la licence LEA t'intéresse , n'hésite pas à me contacter ! À bientôt 🤗 Constance GUIRIEC

Yeleen, 20 ans

Agent de recherches privées

La classe préparatoire ECE J'ai fait mes deux années de classe préparatoire économique et commerciale ( option économie) à l'internat d'excellence de Sourdun. C'est une prépa de proximité dans laquelle j'ai pu bénéficier de la disponibilité et de l'écoute des mes professeurs. La classe prépa demande beaucoup d'énergie et d'investissement ( surtout en deuxième année pour se préparer aux concours). Il ne faut toutefois pas avoir peur de s'orienter vers cette voie (si c'est ce que l'on souhaite faire), un apprentissage régulier est la clef pour réussir ses années. On peut penser que faire une classe prépa c'est du temps perdu surtout si on n'obtient pas d'école par la suite mais pas du tout ! Déjà lorsque tu t'inscris en prépa tu dois aussi t'inscrire en parallèle dans une université ( pas de panique c'est ta prépa qui te fourniras les documents nécessaire) afin de valider tes ECTS, tu sortiras donc avec un équivalent d'une L2. Ensuite, la prépa te permet d'acquérir une capacité à travailler de manière et à t'organiser ( dans une certaine mesure). Cela te permet aussi de prendre de l'aisance à l'oral grâce au kholles ( environ deux par semaine) qui sont des oraux d'environ 20 minutes (10 min de présentation et 10 min de questions) dans lesquels tu dois présenter un sujet ( cela déprendra de la matière). Les classes prépa économiques débouchent sur des concours afin d'intégrer des écoles de commerce. Ils se déroulent en deux parties: les écrits, qui durent environ deux semaines, et les oraux qui ont lieux plus tard. C'est une expérience très enrichissante et fatigante mais elle mérite d'être vécue !

Elya, 20 ans

Prépa PACES - Concours médecine

Actuellement étudiante à Médiplus, une prépa pour prendre de l'avance sur le programme de première année de médecine, je gagne confiance de jour en jour pour mieux apprendrer la fameuse première année de médecine.

Virginie, 24 ans

Bâtiment

IMT Nord Europe (anciennement Mines de Douai, puis IMT Lille Douai) est une école généraliste qui propose de se former dans différents domaines (numérique, environnement, éco matériaux, industrie et service). Mes années d'école m'ont permis de développer mes compétences dans les domaines spécialisés ( génie civil) que transverses (management, gestion de projet). Il y a une bonne ambiance étudiante et de nombreuses associations qui permettent de s'épanouir et d'organiser des projets humanitaires, évènementiels et sportifs. Le réseau à l'international est bien développé, permettant de faire des échanges académiques dans de nombreux pays. Ces années étudiantes sont de très belles expériences.

Valentine, 21 ans

Psychologie

Ma première année de psychologie a été très enrichissante pour moi, que ce soit en matière de connaissances, d'ouverture d'esprit, de compréhension de notre monde mais également sur le plan personnel. La première année nous donne les bases théoriques à connaitre avant d'entrer dans le vif du sujet. Le premier semestre, nous avons étudié les théories, les psychologues de l'époque, les définitions, les méthodologies etc. Au deuxième semestre, nous avons étudié des textes, réalisé plusieurs comptes-rendus, rédigé un cadre théorique sur une expérience donnée, en bref, beaucoup plus de pratiques et donc plus de travaux oraux. Nous étions tous solidaires les uns avec les autres et chacun a donné le meilleur de lui même ! Si la psychologie vous intéresse et que vous avez plusieurs questions, n'hésitez pas à me contacter !

Marina, 20 ans

Sciences politiques

Actuellement en licence de Sciences politiques à Paris 1 Panthéon Sorbonne, je trouve la licence très interrésante en offrant une échelle de compréhension de la vie politique assez conséquente. La licence offre la possibilité d'apprendre du droit sans en faire essentiellement comme dans une licence de droit mais assez pour nous conférer les connaissances neccéssaires au sein du monde politique en terme donc de droit public. les cours de sociologie en lien avec la politique apportent des connaissances plus centrées sur les individus de la société comme vous et moi concernant nos comportements face aux évènements centraux de la société.

Lauranne, 25 ans

Psychologie

Faire son Master de psychologie clinique et psychopathologie en Belgique à l'ULB n'est pas gage de réussite en France. Je m'explique. En France, il y a la sélection pour accéder à un master de psychologie, quelle que soit la spécialité. Les places sont donc rares et difficiles à obtenir au vu de la concurrence et des critères d'admissions très flous. Poursuivre son cursus en Belgique est alors l'une des opportunités alternatives qui s'offrent à nous, à vous. Seulement, ce n'est pas le même fonctionnement qu'en France. En effet, les Master de psychologie clinique ne sont pas spécialisés dans une obédience particulière (TCC, analytique, systémique...). Le côté pratique n'est pas réellement abordé. En plus de ça, après obtention du diplôme, il n'est pas tout de suite reconnu comme équivalent au français. Il faudra monter un dossier et le faire passer auprès de la commission des psychologues, puis faire valider cette décision auprès de l'ARS afin d'obtenir enfin un numéro ADELI et exercer en France. Il sera également nécessaire de poursuivre un DU complémentaire pour obtenir une formation pratique plus avancée afin de se sentir professionnel, utile et efficace dans ce nouveau challenge car il n'aura pas été possible, en dehors des stages, de bénéficier d'outils concrets en thérapie. Si tu as des questions pour compléter ce témoignage, n'hésites pas à prendre RDV avec moi. Je n'ai aucun tabou sur mon parcours, je tenterai de rester la plus objective possible, tout en te faisant part de mon expérience plutôt unique.

Emma, 23 ans

Je suis issue d’un bac ES et je ne savais pas quoi faire après le bac. Un bilan d’orientation a révélé que la comptabilité pouvait être une voie qui me conviendrait. Plusieurs choix se sont offerts à moi, le BTS compta, le DUT GEA (option compta) ou le DCG. Finalement je me suis tout de suite dirigée vers le DCG. A part l’économie, j’ai découvert pour la première fois toutes les matières du DCG. En effet, je n’avais jamais fait de comptabilité, de droit ou encore de finance. C’est d’ailleurs cette diversité des matières qui m’a plu dans cette formation. Avec un DCG vous acquerrez des connaissances en comptabilité mais aussi énormément en droit (droit des sociétés, droit fiscal, droit social), en finance, en management, en contrôle de gestion… C’est un diplôme très complet qui vous permet d’avoir une vue d’ensemble de la situation financière et économique d’une entreprise. C’est cette transversalité des matières et des connaissances qui fait du DCG un diplôme très reconnu. Il est vrai qu’il parait difficile à obtenir aux vues des taux de réussite mais avec de la rigueur et du travail personnel c’est tout à fait faisable. Et il faut noter que les taux de réussite sont faibles car énormément de personnes se présentes en candidat libre sans forcément avoir suivi une formation. Donc si vous préparez le DCG dans un établissement avec des professeurs vous aurez beaucoup plus de chance de l’obtenir !

Betty, 27 ans

Psychologie

Depuis enfant, je voulais devenir psychologue. Face à la pression des enseignants qui voyaient un autre avenir pour moi (droit, lettres) j'ai cédé et je suis partie en licence de droit. J'ai fait trois années sans que ça ne me plaise. Arrivée en l3, j'ai compris que c'était vraiment pas fait pour moi et que je ne pouvais aller au bout de la validation de la licence. Tout mon entourage excepté mes parents me poussaient à valider la licence, alors que j'étais à bout de forces, à deux doigts du burn out et sachant pertinemment que je ne ferai jamais de métier dans le droit. Alors j'ai arrêté juste avant les partiels de fin de licence  sans valider la licence que tout le monde me disait de valider que c'était dommage d'avoir fait trois ans pour rien. Et je sais que si je validais la licence, j'allais demander un master en droit  Non ce n'était pas rien, j'ai énormément appris en trois ans, sur moi, sur mes capacités, sur ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. J'ai donc choisi de suivre mon premier rêve: celui de devenir psychologue.  Et me voilà maintenant en master 2 de psychologie, après 8 ans d'études , et enfin un domaine qui me passionne.  N'écoutez pas les gens et suivre votre instinct, vous et personne d'autre ne sait mieux que vous ce qui est le mieux pour vous.  Valider ma licence m'aurait mise sur la voie du master de droit et je me serais ennuyée.  N"hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi ! Suivez votre instinct ❤