Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

129 résultats correspondants à "" :

Océane, 24 ans

BUT information communication option communication des or...

Le DUT ? Le BUT ? C'est confus... C'est très simple ! Le DUT est une formation de deux ans qui a été remplacée par un BUT qui elle est sur une durée de 3ans. Est-ce mieux ? Je pense que oui ! La troisième année est une année en alternance ou avec un stage prolongé. C'est un net avantage pour les étudiants qui entrent dans le monde du travail ! Foncez !

Océane, 24 ans

Communication, publicité

La direction artistique c'est quoi ? C'est tout ce que j'aime ! La direction artistique est un métier créatif. Le directeur artistique ou bien DA travaille généralement en agence. Il travaille souvent en équipe auprès d'un Concepteur-Rédacteur, de graphistes, et de créatifs en général. Il s'occupe de la partie visuelle de la stratégie de communication. Il peut trouver les idées puis ensuite aider ses équipes à les traduire par l'image. Le DA fait aussi souvent le lien entre le client et l'équipe de créa. Le DA doit être rigoureux, organisé et passionné !

Irina, 22 ans

Psychomotricité

Lors de la séance de TP de rentrée, les formatrices nous ont dit "on n'arrive pas en psychomotricité par hasard..." Après une année passée au sein de ces études si particulières, je comprends maintenant mieux ce qu'elles voulaient dire... Je vous propose ainsi de vous partager mon parcours, ma découverte de la psychomotricité et l'organisation du cursus en général (avec les spécificités de l'IFP d'Orléans). Bonne lecture ! 1. Une découverte plutôt tardive de la psychomotricité (mais comme on dit souvent mieux vaut tard que jamais !) Depuis toute petite, je rêve de faire un métier pour apaiser les souffrances des gens, pour trouver des solutions à leurs problèmes... C'est ainsi que de mes 8 ans jusqu'à mes 18 ans j'étais décidée à devenir psychologue. Mais ces dix années ont filé, et du jour au lendemain je me retrouve en terminale à devoir valider mon choix final. C'est à ce moment précis que tout se trouve chambouler en moi, que tout y compris ce rêve devient incertain... C'est alors que je tombe par hasard sur le métier de psychomotricien en naviguant sur mon PC... Je comprends que c'est un professionnel de santé du paramédical, axé sur la place du corps et son image dans les différents troubles. Je comprends qu'il essaye de ré instaurer les liens corps-esprits, pour rétablir une harmonie au sein du patient... J'ai alors un flash de moi en train d'exercer ce métier (alors que je n'en savais pas encore grand chose oui je sais !). Je commence des recherches plus poussées, et l'IFP d'Orléans devient mon nouvel objectif. A l'époque, on pouvait faire une fac de sciences (science de la vie/chimie) pour avoir plus de chance d'entrer à l'IFP. Ayant besoin de plus de temps pour réfléchir à ce projet, et ayant toujours envie de découvrir l'ambiance de l'Université, je décide donc d'entrer en L1 sciences de la vie/ chimie à Orléans. Après une année intense marquée par le confinement, je valide la double L1 et je suis acceptée à l'IFP d'Orléans : c'est le début d'une nouvelle aventure pour moi ! 2. Pourquoi le métier de psychomotricien me correspond ? Tout simplement car il me permet de pouvoir être dans le soin, ce fameux "care", en abordant les patients de façon globale. J'aime le fait qu'on prenne en compte aussi bien l'importance du support organique de l'Homme, son corps (pôle neuromusculaire), que son psychisme/esprit (pôle cognitif), et enfin la part émotive, sensible (pole psycho-affectif). Ainsi c'est un métier riche d'outils, de techniques, où notre créativité, notre imagination nous accompagne dans chaque prise en charge. Ainsi, les psychomot' aiment beaucoup jouer ! Ce que je trouve également intéressant en psychomotricité, c'est le côté ludique qu'on met en place, quelque soit l'âge du patient d'ailleurs. On essaie de valoriser leurs ressources et leurs capacités au maximum. Cela se retrouve dans la relation de confiance et de co-construction qu'on établit avec le patient : on n'oublie jamais que ce dernier a toujours quelque chose à apporter dans le processus thérapeutique. 3. L'organisation des études en psychomotricité Tout comme le métier, le cursus est riche (on ne s'ennuie jamais !) et se compose de trois grands temps d'enseignement : - les cours théoriques (qu'ils traitent de psychomotricité en tant que tel, de psychologie, psychiatrie, etc...) - les TP (travaux pratiques) qui permettent d'expérimenter corporellement certains concepts théoriques, de se former à certaines techniques (relaxation, toucher thérapeutique, bilans psychomoteurs...), d'appréhender des cas cliniques, et enfin d'apprendre à mieux se connaitre ! - les stages. En 1ère année ils visent à observer le développement psychomoteur (normal) de 0 à 6 ans. Ils deviennent cliniques à partir de la deuxième année. On pratique alors sur différentes populations et dans différentes lieux en 2ème et 3ème année. Le cursus se passe donc en 3 ans, avec la validation d'un DE (ou diplôme d'état) à la fin. 4. Les plus de l'IFP d'Orléans On y est 25 par promo, ce qui permet de se former au mieux, de manière presque personnalisée finalement. On peut poser toutes les questions qu'on a en tête, à tout moment. On se connait tous et toutes, et l'entraide est très présent entre nous. Tout au long de l'année, on est accompagné de manière individuelle via des entretiens pédagogiques pour voir si on se sent toujours bien au sein de la formation, du métier, dans notre vie en général... Si on a des doutes, ou si on rencontre des difficultés les formatrices sont là pour nous écouter et nous aiguiller au mieux. Côté vie étudiante, le BDE (bureau des étudiants) est très organisé et assez actif ! Des évènements nous sont très régulièrement proposés... pour ceux qui aiment s'amuser et sortir en parallèle des études c'est l'idéal ! Ces particularités permettent de créer une vrai ambiance de travail, plutôt chaleureuse et détendue. 5. Mon ressenti sur ma 1ère année de DE Au final, je ne regrette pas d'avoir quitté la fac ! Ni la psycho ! Je sais maintenant qu'il m'aurait manqué quelque chose en psychologie : cette approche globale de la psychomotricité, le plaisir et l'utilité des médiations corporelles. Avant je n'aimais pas du tout le sport, je n'aimais pas bouger mon corps, je me laissée accaparer par les vicissitudes de mon esprit. Aujourd'hui, l'image que j'ai de mon corps et de moi a changé et c'est en partie grâce à mes études. En psychomotricité, on ne se forme par seulement à un métier, on apprend à se développer personnellement. Je suis également heureuse de toutes les expériences que j'ai vécu en seulement un an... Le souvenir de l'équithérapie par exemple résonne encore en moi... tout comme les TP d'expression corporelle pour ne citer que quelques exemples. Côté travail et résultats, j'avais peur de ne pas réussir à suivre, notamment en anatomie ou en neurophysiologie (n'ayant pas fait médecine avant). Mais finalement en s'y mettant, en fournissant un minimum d'efforts (inhérents au principe des études), et avec la patience des enseignements et des systèmes d'entraide (entre étudiants dans la promo + cours en plus pour revenir sur certaines notions) on y arrive (même en sortant du bac d'ailleurs) ! Vous l'aurez compris mes études me passionnent et m'aident à m'épanouir... J'espère que ce témoignage vous aura parlé, appris des choses, peut être même intrigué... Si vous vous posez encore des questions, n'hésitez pas à me contacter via la plateforme, je serais enchantée de prendre le temps de vous écouter ! ;)

Aléna, 22 ans

Médecine (diplôme d'État)

Le Diplôme d'Etat de Conseiller en Economie Sociale Familiale m'a permis d'avoir une expérience de stage plus complète qu'en BTS. Il m'a également permis de prendre en compte la différence entre être Technicien en ESF (avoir les apports théoriques) et Conseiller en ESF (avoir l'approche de terrain, l'aspect "social"). J'ai également découvert les différents métiers disponibles avec le DE CESF (autre que CESF).

Coralie, 25 ans

Administration, gestion et médiation culturelle

2 années de master en direction de projets ou établissements à l'institut Denis Diderot à Dijon. Une première année intense avec beaucoup de cours et beaucoup de notions : droit, comptabilité, budget, communication, marketing... Ce master permet d'acquérir l'ensemble des compétences pour travailler dans la culture à tous les niveaux (administration, relations publiques...). Les rencontres avec les professionnels nous aide à connaître le monde de la culture ainsi que de commencer à établir un réseau. Le stage en master 1 dure entre 4 et 6 mois, il permet d'affiner nos ambitions. La deuxième année de master est en alternance. Le rythme est de 2 semaines de cours, 2 semaines d'entreprises.

Valentine, 22 ans

Psychologie

Ma première année de psychologie a été très enrichissante pour moi, que ce soit en matière de connaissances, d'ouverture d'esprit, de compréhension de notre monde mais également sur le plan personnel. La première année nous donne les bases théoriques à connaitre avant d'entrer dans le vif du sujet. Le premier semestre, nous avons étudié les théories, les psychologues de l'époque, les définitions, les méthodologies etc. Au deuxième semestre, nous avons étudié des textes, réalisé plusieurs comptes-rendus, rédigé un cadre théorique sur une expérience donnée, en bref, beaucoup plus de pratiques et donc plus de travaux oraux. Nous étions tous solidaires les uns avec les autres et chacun a donné le meilleur de lui même ! Si la psychologie vous intéresse et que vous avez plusieurs questions, n'hésitez pas à me contacter !

Emma, 24 ans

Je suis issue d’un bac ES et je ne savais pas quoi faire après le bac. Un bilan d’orientation a révélé que la comptabilité pouvait être une voie qui me conviendrait. Plusieurs choix se sont offerts à moi, le BTS compta, le DUT GEA (option compta) ou le DCG. Finalement je me suis tout de suite dirigée vers le DCG. A part l’économie, j’ai découvert pour la première fois toutes les matières du DCG. En effet, je n’avais jamais fait de comptabilité, de droit ou encore de finance. C’est d’ailleurs cette diversité des matières qui m’a plu dans cette formation. Avec un DCG vous acquerrez des connaissances en comptabilité mais aussi énormément en droit (droit des sociétés, droit fiscal, droit social), en finance, en management, en contrôle de gestion… C’est un diplôme très complet qui vous permet d’avoir une vue d’ensemble de la situation financière et économique d’une entreprise. C’est cette transversalité des matières et des connaissances qui fait du DCG un diplôme très reconnu. Il est vrai qu’il parait difficile à obtenir aux vues des taux de réussite mais avec de la rigueur et du travail personnel c’est tout à fait faisable. Et il faut noter que les taux de réussite sont faibles car énormément de personnes se présentes en candidat libre sans forcément avoir suivi une formation. Donc si vous préparez le DCG dans un établissement avec des professeurs vous aurez beaucoup plus de chance de l’obtenir !

Betty, 28 ans

Psychologie

Depuis enfant, je voulais devenir psychologue. Face à la pression des enseignants qui voyaient un autre avenir pour moi (droit, lettres) j'ai cédé et je suis partie en licence de droit. J'ai fait trois années sans que ça ne me plaise. Arrivée en l3, j'ai compris que c'était vraiment pas fait pour moi et que je ne pouvais aller au bout de la validation de la licence. Tout mon entourage excepté mes parents me poussaient à valider la licence, alors que j'étais à bout de forces, à deux doigts du burn out et sachant pertinemment que je ne ferai jamais de métier dans le droit. Alors j'ai arrêté juste avant les partiels de fin de licence  sans valider la licence que tout le monde me disait de valider que c'était dommage d'avoir fait trois ans pour rien. Et je sais que si je validais la licence, j'allais demander un master en droit  Non ce n'était pas rien, j'ai énormément appris en trois ans, sur moi, sur mes capacités, sur ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. J'ai donc choisi de suivre mon premier rêve: celui de devenir psychologue.  Et me voilà maintenant en master 2 de psychologie, après 8 ans d'études , et enfin un domaine qui me passionne.  N'écoutez pas les gens et suivre votre instinct, vous et personne d'autre ne sait mieux que vous ce qui est le mieux pour vous.  Valider ma licence m'aurait mise sur la voie du master de droit et je me serais ennuyée.  N"hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi ! Suivez votre instinct ❤