Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

120 résultats correspondants à "" :

Aurélie, 22 ans

Psychologie

Ici nous allons évoquer la Licence en Psychologie et je vais essayer de déconstruire l'idée qu'on se fait en France des études de psycho. Effectivement, il est plutôt simple de rentrer dans une formation de Psychologie (Licence) même si je n'ai pas suivi ce processus pour rentrer dans un département de psycho. Les études de psycho sont connues pour être des études "faciles". Déjà la facilité pour certains n'aura pas la même la signification pour d'autres et est à recontextualiser en fonction des autres formations. Oui les classes préparatoires sont plus "difficiles" que les formations en Licence mais les compétences à acquérir ne sont pas les mêmes, par rapport à la psycho en tout cas. Ça sera "facile" si vous avez des facilitées dans la vie, si vous arrivez à vous adaptez à toutes formations et si vous aimez ce que vous voyez. Cela est assez subjectif. Les études de psycho sont connues pour être des études où les étudiants travaillent peu. Oui et non encore une fois. Cela dépend du profil de la personne même si la L1 en psycho est assez accessible pour tout le monde. Le niveau (comme dans toutes formations) monte progressivement et la L3 va vous demander beaucoup d'investissement et de rigueur dans votre travail surtout avec la réalisation d'un mémoire (appelé TER ou autre). Effectivement, vous pouvez passer de niveau en niveau en validant de peu votre année mais cela va proposer problème par la suite dans le cadre des sélections pour les Masters en Psychologie. J'en parlerai dans un autre article. Enfin, j'insiste pour dire qu'il y a des débouchés dans cette filière. Quand je m'étais renseignée concernant cette formation et ses débouchés, on m'avait répondu qu'il y en avait peu voire pas du tout de débouchés alors que cela est faux. Il y a de l'emploi à la clé en tant que Psychologue officiel et après à vous de voir qu'elle approche et spécialité vous voudriez proposer à vous futurs patients. Enfin, La Psychologie ce n'est pas "analyser" les gens et savoir lire dans leur esprit. Les psychologues ne sont pas des êtres mystiques ;) Comme le font les médecins ou les kinés par exemple, les thérapeutes en psychologie propose une prise en charge et une manière d’appréhender le patient différente des autres professions de santé. Oui, on peut dire que c'est une sorte de "thérapeute de l'esprit" même si cette "appellation" est vraiment une partie infime de ce que peut proposer la psychologie. Certains praticiens peuvent proposer une approche psychologique davantage basée sur les neurosciences et d'autres davantage axées sur la psychanalyse ou sur la composante sociale.

Aurélie, 22 ans

Prépa PACES - Concours médecine

Le concours PACES n'est pas une situation insurmontable mais elle demande beaucoup beaucoup d'investissement surtout quand vous n'avez pas de facilitées dans la mémorisation et/ou l'apprentissage. C'est un concours qui demande beaucoup d'organisation, de rigueur et d'autonomie dans ses révisions. Si vous n'arrivez pas à vous "brider", en quelque sorte, ou en tout cas à vous donner une ligne directive et à la tenir, cela commence mal pour vous. Heureusement, il existe des prépas en dehors de l'Université qui proposent leur aide pour "superviser" les étudiants dans leurs révisions et leur apporter du soutien. A la faculté de Médecine et Maieutique de l'Université Catholique de Lille, il n'est pas nécessaire de payer une prépa pendant le concours. Car l'école est payante mais aussi parce que la fac met en place un réseau étudiant de 2e et 3e année en médecine, pharma et autre pour accompagner les étudiants en PACES et leur proposer des cours de tutorat dans toutes les matières (appelées "Unités d'Enseignements) enseignées pendant l'année. De même, dès le début vous vous retrouvez avec un parrain ou une marraine qui sera là tout le long de votre année pour vous soutenir et vous aider dans les révisions (ils donnent leurs anciens cours ;)). Enfin, cette faculté propose un environnement de travail vraiment agréable pour ce type de concours comparé à d'autres universités où l'esprit de compétition se fait moins ressentir et où l'entraide entre étudiants est davantage présent.

Coralie, 24 ans

Administration, gestion et médiation culturelle

2 années de master en direction de projets ou établissements à l'institut Denis Diderot à Dijon. Une première année intense avec beaucoup de cours et beaucoup de notions : droit, comptabilité, budget, communication, marketing... Ce master permet d'acquérir l'ensemble des compétences pour travailler dans la culture à tous les niveaux (administration, relations publiques...). Les rencontres avec les professionnels nous aide à connaître le monde de la culture ainsi que de commencer à établir un réseau. Le stage en master 1 dure entre 4 et 6 mois, il permet d'affiner nos ambitions. La deuxième année de master est en alternance. Le rythme est de 2 semaines de cours, 2 semaines d'entreprises.

Valentine, 21 ans

Psychologie

Ma première année de psychologie a été très enrichissante pour moi, que ce soit en matière de connaissances, d'ouverture d'esprit, de compréhension de notre monde mais également sur le plan personnel. La première année nous donne les bases théoriques à connaitre avant d'entrer dans le vif du sujet. Le premier semestre, nous avons étudié les théories, les psychologues de l'époque, les définitions, les méthodologies etc. Au deuxième semestre, nous avons étudié des textes, réalisé plusieurs comptes-rendus, rédigé un cadre théorique sur une expérience donnée, en bref, beaucoup plus de pratiques et donc plus de travaux oraux. Nous étions tous solidaires les uns avec les autres et chacun a donné le meilleur de lui même ! Si la psychologie vous intéresse et que vous avez plusieurs questions, n'hésitez pas à me contacter !

Emma, 23 ans

Je suis issue d’un bac ES et je ne savais pas quoi faire après le bac. Un bilan d’orientation a révélé que la comptabilité pouvait être une voie qui me conviendrait. Plusieurs choix se sont offerts à moi, le BTS compta, le DUT GEA (option compta) ou le DCG. Finalement je me suis tout de suite dirigée vers le DCG. A part l’économie, j’ai découvert pour la première fois toutes les matières du DCG. En effet, je n’avais jamais fait de comptabilité, de droit ou encore de finance. C’est d’ailleurs cette diversité des matières qui m’a plu dans cette formation. Avec un DCG vous acquerrez des connaissances en comptabilité mais aussi énormément en droit (droit des sociétés, droit fiscal, droit social), en finance, en management, en contrôle de gestion… C’est un diplôme très complet qui vous permet d’avoir une vue d’ensemble de la situation financière et économique d’une entreprise. C’est cette transversalité des matières et des connaissances qui fait du DCG un diplôme très reconnu. Il est vrai qu’il parait difficile à obtenir aux vues des taux de réussite mais avec de la rigueur et du travail personnel c’est tout à fait faisable. Et il faut noter que les taux de réussite sont faibles car énormément de personnes se présentes en candidat libre sans forcément avoir suivi une formation. Donc si vous préparez le DCG dans un établissement avec des professeurs vous aurez beaucoup plus de chance de l’obtenir !

Betty, 27 ans

Psychologie

Depuis enfant, je voulais devenir psychologue. Face à la pression des enseignants qui voyaient un autre avenir pour moi (droit, lettres) j'ai cédé et je suis partie en licence de droit. J'ai fait trois années sans que ça ne me plaise. Arrivée en l3, j'ai compris que c'était vraiment pas fait pour moi et que je ne pouvais aller au bout de la validation de la licence. Tout mon entourage excepté mes parents me poussaient à valider la licence, alors que j'étais à bout de forces, à deux doigts du burn out et sachant pertinemment que je ne ferai jamais de métier dans le droit. Alors j'ai arrêté juste avant les partiels de fin de licence  sans valider la licence que tout le monde me disait de valider que c'était dommage d'avoir fait trois ans pour rien. Et je sais que si je validais la licence, j'allais demander un master en droit  Non ce n'était pas rien, j'ai énormément appris en trois ans, sur moi, sur mes capacités, sur ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. J'ai donc choisi de suivre mon premier rêve: celui de devenir psychologue.  Et me voilà maintenant en master 2 de psychologie, après 8 ans d'études , et enfin un domaine qui me passionne.  N'écoutez pas les gens et suivre votre instinct, vous et personne d'autre ne sait mieux que vous ce qui est le mieux pour vous.  Valider ma licence m'aurait mise sur la voie du master de droit et je me serais ennuyée.  N"hésitez pas à prendre rendez-vous avec moi ! Suivez votre instinct ❤

Joy, 30 ans

Psychologie

J'ai effectué ma licence de Psychologie à l'université de Nice (UFR Lettres, Arts et Sciences Humaines) de 2012 à 2016. La licence est l'un des diplômes auxquels on peut prétendre après l'obtention du baccalauréat, elle se déroule sur 3 ans et chaque année comporte 2 semestres. Voici d'après moi les avantages et les inconvénients (à savoir que certains points ne sont pas communs à toutes les facultés !) : Avantages : - on peut accéder à la licence avec simplement l'obtention du bac (même sans mention) ; - on se spécialise dans un domaine (en l'occurence dans mon cas la psychologie) ; - les premières années on a peu d'heures de cours (de mémoire en L1 j'avais en moyenne 18 heures de cours par semaine), il faut donc apprendre à être très autonome et organisé car une grosse partie du travail se fait en dehors des heures de cours ; - c'est général ce qui veut dire que l'on peut explorer différentes facettes de la psychologie pour trouver ce qui nous plaît et nous spécialiser ensuite en master ; - depuis 2019, la sélection s'est généralisée à la fin de la licence (avant elle était à la fin de la première année de master), ce qui permet, en cas de refus, de se réorienter plus vite et plus facilement (en théorie), il est bien sûr possible de repostuler l'année suivante ; - la licence est l'occasion de rencontrer de nouvelles personnes, des étudiants venant d'horizons divers, c'est très enrichissant ! Inconvénients : - ça reste très général dans le domaine choisi (par exemple, en licence de psychologie à Nice, on avait des cours comme : histoire de la psychologie, statistiques, psychopathologie, psychologie cognitive, psychologie sociale, neurobiologie, psychanalyse, psychologie du travail, anthropologie, sociologie, philosophie, etc.) - il faut être organisé, méthodique et autonome ; - l'administration de la fac est une catastrophe ; - il y a énormément d'étudiants, en L1 nous étions 750 pour 20 places en moyenne par master, ce qui veut dire qu'une sélection s'opère au cours de chaque année, environ 1/3 des étudiants abandonnent au cours du premier semestre de la L1, ensuite la sélection se fait à partir de la moyenne. À Nice, il faut avoir au moins 10 sur la moyenne de l'année (semestre 1 + semestre 2 se compensent), mais dans d'autres facs il faut avoir la moyenne à chaque semestre ; - il n'y a pas de stage obligatoire pour valider la licence, néanmoins c'est fortement conseillé pour 1) pouvoir accéder au master et 2) gagner en compétences pratiques !! Sauf que les stages sont très difficiles à trouver pour plusieurs raisons : les étudiants en master sont prioritaires ; il y a plus d'étudiants en psychologie que de psychologues accueillant des stagiaires ; pas tous les psychologues ne prennent de stagiaires ; au-delà de 308h de stage cumulées le stage doit être rémunéré ; certaines facs exigent que les garants aient au moins 3 ans d'expérience pour reconnaître le stage ; - il y a des partiels à chaque semestre concentrés sur une même période (ce qui est assez intense en termes de rythme et de stress). Mes conseils : - se rapprocher de ses camarades pour travailler, partager les infos, se sentir soutenu ; - il y a généralement des groupes Facebook qui sont créés pour chaque promo, très utile pour avoir toutes les infos, demander les cours auxquels on n'a pas pu assister et développer des relations (ce sont peut-être des futurs collègues !) ; - lire beaucoup (des livres mais aussi des articles scientifiques) et s'intéresser à des sujets qui ne sont pas forcément développés en cours (pour cela la Bibliothèque Universitaire sera votre meilleure amie) ; - ne pas hésiter à entrer en contact avec des étudiants de la promo supérieure pour avoir des tips (notamment pour les sujets de partiels et pour les lieux de stages !) ; - ne pas hésiter à aller au BAPU (bureau d'aide psychologique universitaire) si l'on se sent trop en difficulté, trop sous pression, trop isolé, trop vulnérable. Vous y trouverez de l'aide et en plus c'est gratuit ! Toi qui me lis, profite bien de tes années d'études et n'hésite pas à naviguer sur ce site pour te faire une idée de ce que sont les études supérieures ! Amuse-toi bien :)

Saïdou, 22 ans

Langues étrangères appliquées (LEA)

La fac de langue me plait beaucoup sachant que je me considére quasiment trilingue et donc je suis une personne qui est attiré par les langues en particuliers l’anglais et l’espagnol finalement je peut aussi dire que la filière est un peu complète car elle se compose de l’économie du droit mais aussi du français (tout dépend du niveau accordé suite au test de français ) ceux qui veulent donc désormais un entretien téléphonique avec moi aller voir mon profil pour prendre rdv

Saïdou, 22 ans

Langues étrangères appliquées (LEA)

La fac de langue me plait beaucoup sachant que je me considére quasiment trilingue et donc je suis une personne qui est attiré par les langues en particuliers l’anglais et l’espagnol finalement je peut aussi dire que la filière est un peu complète car elle se compose de l’économie du droit mais aussi du français (tout dépend du niveau accordé suite au test de français ) ceux qui veulent donc désormais un entretien téléphonique avec moi aller voir mon profil pour prendre rdv

Solenn, 23 ans

D'après mon expérience en école d'architecture, voici ce que j'en retiens : c'est une formation extrêmement complète qui fait intervenir tant des qualités plastiques et créatives que orales. On apprends beaucoup sur soi, à travailler en groupe, et à acquérir un esprit de synthèse par exemple. On ressens très vite quand on commence les études que bien s'exprimer à l'oral et pouvoir synthétiser tout son travail en trois lignes c'est primordial. Au niveau des matières, ce sont des études "touchent à tout", du moins de mon point de vue. On étudie l'histoire, l'histoire de l'art, l'urbanisme, la politique urbaine, l'économie des territoires, les mutations sociétales qui ont influencées les villes, les comportements humains qui entrent en jeu quand on parle d'habiter un espace... Tout cela nous ouvre l'esprit sur ce qui nous entoure et nous fait voir le monde d'une autre manière. C'est peut être une phrase bateau, je vous l'accorde, mais elle est terriblement juste quant il s'agit des enseignements qui nous sont donnés. L'architecte conçoit et construit l'environnement donc en tant que futurs architectes nous devons avoir en main un éventail de connaissances sur le monde dans lequel nous allons exercer. Alors oui, ce sont des études fastidieuses et très souvent démoralisantes mais on se rend compte de tellement de choses qu'on a envie de continuer !