Guides d'orientation : tout savoir sur une filière
groupe d'advisors

Il existe 1001 façons de choisir sa filière, mais ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver au milieu de toutes ces informations 🔎, et de savoir si on a fait le bon choix !

Les témoignages de nos Advisors sont là pour t'aider à y voir plus clair 💡.

Si tu veux en savoir plus sur leurs parcours, prends RDV avec eux 🤳 !

120 résultats correspondants à "" :

Mathilde, 22 ans

Architecture, urbanisme, paysage

J'ai obtenu un bac S option Sciences de l'Ingénieur en 2019. Un peu plus tôt dans l'année il a fallu mettre des vœux sur Parcoursup. Le problème ? Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie ! Et c'est bien normal ! Avec une retraite à 64 ans, qui peut choisir à 18 ans ce qu'il va faire jusque là ? Mais l'échéance arrivait et il fallait faire un choix ! Comme on l'entend souvent en entretiens "j'aime les sciences, j'aime le dessin, alors pourquoi pas archi ?". J'avais quelques connaissances en ENSA, je savais à quoi m'attendre alors allons y ! Quelques mois plus tard je commence ma première année en architecture à Versailles. Je suis complètement à la ramasse, comme dans un monde parallèle. Tous les étudiants ont un architecte préféré, un avis sur tout, parlent de choses que je ne comprends pas. De ma vision de campagnarde arrivée là par chance et hasard, ce que je savais citer à ce stade c’était le vieil Orléans, sa cathédrale et les châteaux de la Loire, je n’ai même pas réussi à retenir les architectes du FRAC Centre que j’avais pourtant cité en long en large et en travers lors de mes entretiens. Le souvenir le plus fort que je garderai de ma licence est mon tout premier workshop. Dès les premières semaines nous avons été mis dans le bain : par 6 nous avons dû nous lancer dans la construction d’une maison en carton à l’échelle une. C’est là qu’on a commencé à apprendre. Le premier travail de groupe, les premiers croquis, les premières idées, interrogations et maquettes, les premiers questionnements structurels, les premières charrettes, les premières défaites, les premières victoires. Mais par-dessus tout, alors que nos professeurs étaient persuadés que le toit de notre structure allait s’effondrer, ce fut la satisfaction de voir notre œuvre achevée qui m’a fait réaliser que j’étais bel et bien lancée dans le cursus et qui m’a fait entrevoir que j’avais peut être finalement bien ma place ici. Le retard que j'avais l'impression d'avoir n'était finalement pas si grand. de toutes façons nos connaissances évaluées étaient basées sur les cours magistraux que nous avions tous et pour les cours de projets nous partions tous du même point. En parlant du cours de projet : il a été très déstabilisant. Au premier semestre nous étions frustrés de ne pas réellement faire projet. On a fait une coupe et un peu de programmation mais rien de ce que nous attendions réellement de cet enseignement. Le deuxième semestre a été déstabilisant d'une autre manière, nous avons du concevoir sans connaitre les codes. Nous n'avions aucune notion technique donc très peu de contraintes et nous avons du nous les imposer nous mêmes pour concevoir probable sans vraiment comprendre les limites de réalisme que nous devions avoir. Ce sentiment est resté au semestre 3 pour petit à petit s'effacer. En troisième année, la difficulté était tout autre. Mes camarades et moi nous sommes vite retrouvés face à une charge de travail dépassant tout ce que nous avions connu. La quantité et la qualité des documents requis avait drastiquement augmenté, je me suis à deux reprises retrouvée à présenter 3 projets complets avec documents finis dans la même semaine. L’exigence des maquettes avait aussi augmenté, mais ayant passé deux semestres loin de l’école, ses ateliers et son fablab, il ne nous avait été demandé aucune maquette depuis plus d’un an (à cause des confinements successifs). Mais ce n’était pas un argument, les difficultés m’ont permis de me débrouiller par moi-même et de me dépasser. Cette troisième année a été un réel sacrifice. Je me suis consacrée corps et âme dans le projet, je n’avais plus de temps pour faire autre chose, je ne voyais même plus mes amis qui travaillaient pourtant dans la même école que moi, je me contentais d’échanges brefs avec ceux assis à la même table, j’y ai laissé beaucoup de cartouches de sommeil ; encore aujourd’hui je récupère certaines heures sacrifiées lors des derniers rendus du premier semestre. Il a été moralement et psychologiquement dur : lorsqu’on se consacre autant à son travail, tout devient personnel et la critique est plus dure à digérer. Lorsque j'ai écris ces mots dans mon rapport de fin de licence, je sentais un note d'aigreur en moi. J'avais sacrifié un peu de ma vie pour des cours... Je me suis souvent dit que "les études ce n'est pas ta vie entière, pense un peu à toi" et je ne l'avait pas fait une fois. Cependant, avec le recul, ce sacrifice m'a au moins donné la tranquillité d'esprit de me dire que j'avais donné tout ce que j'avais à donner et que le projet n'aurait pas pu être mieux. Mais malgré tout, ce que je trouve dommage c’est que pour cette matière j’ai dû mettre de côté certains enseignements annexe par manque de temps ; j’assistais aux cours mais mon cerveau ne pensait que projet ou se mettais en off pour récupérer un peu de temps de repos. Cette année nous avions un professeur de droit passionnant et il m'est arrivé plusieurs fois de somnoler pendant ses cours à cause de la fatigue accumulée alors que ce que j'avais en face de moi intéressait vraiment. Dans notre cursus nous avons une grande pluralité d’enseignements autre que le projet et qui se rapproche plus ou moins de notre potentiel futur métier. En premier il y a la construction. Venant d’un bac SI, j’avais déjà quelques wagonnets d’avances qui m’ont permis de ne pas écouter la première année et de m’en sortir assez correctement. La deuxième et troisième année les choses se sont corsées, plus de calculs, plus de notions, on entrait dans le côté architectural de la matière. Les quatre heures consécutives hebdomadaires de cette matière ne m’ont guère tenue en éveil bien qu’elles semblaient intéressantes. Mais la fatigue du projet n’aidant pas j’ai eu du mal à m’y accrocher et encore plus à m’y mettre par la suite. Sont venues aussi les matières manuelles. En premier lieu nous avons eu des cours de représentations. J’ai beaucoup aimé ces cours. J'en garde un souvenir très agréable. Je mets dans le même lot les modules d’art plastique. 3 jours, deux fois par semestre pendant 2 ans. A l’époque je râlais beaucoup car je n’en voyais pas le sens, mais aujourd’hui j’en tire la joie d’avoir manipulé, expérimenté, et de travaillé sans me prendre la tête. Et sans eux cette année, j’ai pu me rendre compte qu’ils offraient une pause profitable au milieu du semestre de projet. Ces matières ont comblé mon amour du travail manuel, tout comme mon stage de première année. J’ai effectué ce stage dans une menuiserie-charpenterie du Loiret et j’ai passé deux formidables semaines à vagabonder à faire des planchers, des terrasses... J’ai pris plaisir à avoir mes yeux sur autre chose qu’un écran et avoir des mouvements plus amples que ceux du dessin et du travail sur ordinateur. Durant ces 3 ans j’ai aussi découvert des matières plus littéraires. L’histoire de l’architecture qui m’a immédiatement passionnée mais la longueur des cours ont eu raison de ma concentration. J’ai adoré les cours de première année sur les racines de l’architecture, et si j’ai eu un peu plus de mal avec l’architecture moderne explorée en L2 c’est avec plaisir que je l’ai retrouvée mêlée au patrimoine lors de ma troisième année. J’ai trouvé ces cours très intéressants et j’ai tout particulièrement apprécié l’enseignement d'une de mes professeures qui nous a appris à voir l’architecture autrement et y développer un réel esprit critique par le biais de son discours mais également des débats qu’elle organisait. Nous avons également eu des cours de droit, et si ils m’ont peu intéressés en L2, les cours de L3 était nettement différents. J’ai grandement apprécié aussi d’avoir eu l’occasion d’élargir le domaine de l’architecture à travers de sujets plus inattendus tels que la philosophie ou l’anthropologie ainsi que le cinéma. Je suis actuellement en Master. Je regrette presque que ces trois années soient passées si vite. La licence, même si elle est éprouvante, est la période de l'architecture libre, créative, émotionnelle... On s'amuse, on expérimente. Le master est là pour appliquer toute l'expérience accumulée pendant ses 3 ans, il est plus sérieux, plus appliqué. Ce contraste m'aide beaucoup sur ma vision de l'architecture que je veux pratiquer plus tard. J'ai envie de retrouver cette pratique "fun". Je pense que c'est quelque chose que je pourrais potentiellement trouver dans la scénographie ou le maquettisme... Affaire à suivre...

Youssef, 20 ans

Economie

l'option "Travail de l'acteur et prise de parole en public" à Dauphine (mon experience). J'ai suivi cette option lors de ma L2 en sciences des organisations, cette option consiste a s'exprimer en public afin d'être plus à l'aise. Au départ on exerimente des techniques et on fais des exercices type théatre (articulation, mouvements corporels, respiration, amplitude de la voix, jeux de rôle, mimes ...). A la fin, on joue une pièce de théâtre. Ca a été une experience fabuleuse pour moi, je suis beaucoup plus à l'aise à l'oral, et l'idée de passer devant tout le monde ne me dérange plus. Je suis ravi et enchanté de pouvoir m'exprimer en toute liberté, j'ai acquis une certaine confiance en moi et en mes capacités grâce à cette option et evidemment grâce à la prof de théâtre qui est extrêmement pédagogue et talentueuse. Un conseil, si tu passes par Dauphine, ne loupes pas cette option qui en deviendrai presque une nécessité ! Bon vent, Youssef E.

Jeanne, 20 ans

Activités juridiques : contentieux et recouvrement

La licence APAS, bien souvent méconnue du grand publique et pourtant si importante a l'heure actuelle et en vue de l'évolution en âge de la population. Ce métier en voix de développement vous offre des possibilité d'avenir extraordinaire ! Tout d'abord qu'es-ce que APAS signifie ? Cela signifie activité physique adapté et santé. En effet, nous professionnel de santé et activité physique nous sommes la pour accompagner les personnes en situation de handicap ou meme de vieillissement dans leur vie quotidienne, de leurs offrir la possibilité de faire du sport, de bouger au quotidien, de lutter contre l'isolement et la sédentarité. Nous sommes la pour eux pour leur bien être physique mais aussi mental en leur proposant un traitement thérapeutique non médicamenteux. Si vous souhaitez plus d'information sur les études a faire pour atteindre ce milieu professionnel n'hésitez surtout pas a me contacter pour n'importe qu'elle renseignement !!

Léa, 24 ans

Droit international

J'ai eu la chance de suivre un Master 2 spécialisé droit international des affaires à l'Université Paris V, et je dois dire que cela a été l'une des expériences les plus enrichissantes de ma vie. Le programme était intense et exigeant, mais également très stimulant et intéressant. Nous avons étudié un large éventail de sujets liés au droit international des affaires, allant de la fiscalité internationale à la résolution des conflits commerciaux internationaux. Les cours étaient dispensés par des enseignants qualifiés et expérimentés de facs internationales (Cornell..), qui ont su rendre les concepts juridiques complexes accessibles et compréhensibles. Le Master 2 nous a également offert des occasions de développer nos compétences pratiques, notamment grâce à des exercices de négociation, des études de cas et des simulations de procès. Nous avons également eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs, comme des avocats, des juges et des représentants de grandes entreprises internationales, qui nous ont apporté leur expérience et leur savoir-faire. Dans l'ensemble, je recommande vivement ce Master 2 à tous ceux qui cherchent à développer leurs compétences juridiques et à s'immerger dans le monde complexe et fascinant du droit des affaires international. C'est une année qui m'a beaucoup appris sur le droit, sur les affaires et qui m'a préparé de manière optimale pour traiter des dossiers de droit des affaires au sein de cabinets d'avocats.

Jeanne, 20 ans

BUT génie biologique option industries agroalimentaires e...

Le BUT génie biologique (option sciences de l'aliments et biotechnologie) est une formation très complète et passionnante ! Le BUT est un "Bachelor universitaire technologiques" qui s'effectue en 3 ans. durant ces 3 années, on effectue des stages de plusieurs semaines dans des laboratoires pour pouvoir toucher au milieu professionnel. Le BUT est une formation sélective mais accessible mélangeant les cours en Amphi comme à la fac, les cours en classes et les travaux pratiques en laboratoire. Les professeurs sont très proches de nous et sont à l'écoute. Il s'agit souvent de petites promo d'une centaine de personne, tout le monde se connaît et il y a une bonne ambiance ! Les matières enseignées varient tout au long de l'année en allant de la Biochimie, des Mathématiques, à la physiques, la chimie, la physiologie animale et végétale, la chimie, les statistiques... mais aussi des matières littéraires telle que la communication, l'anglais ou l'espagnol ! N'hésitez pas à me contacter pour plus d'infos !

Zoé, 22 ans

Bachelor généraliste

Je suis ravi de partager mon expérience d'étudiant en Bachelor généraliste en école de commerce. J'ai choisi cette voie car je voulais acquérir une solide base de connaissances en gestion et en commerce, tout en explorant différentes spécialités. Tout au long de mon programme, j'ai été exposé à une grande variété de sujets tels que la finance, le marketing, la stratégie d'entreprise, la comptabilité, la gestion des ressources humaines et la gestion de projet. Chaque cours était enseigné par des professeurs expérimentés qui ont fourni des perspectives uniques sur les sujets abordés. Outre les cours, j'ai également eu la chance de participer à plusieurs activités parascolaires et projets. J'ai rejoint le club de débat, où j'ai pu améliorer mes compétences en communication et en argumentation, ainsi que le club de marketing, où j'ai travaillé sur des projets réels avec des entreprises locales. L'école de commerce a également offert de nombreuses occasions de réseautage, notamment des événements de carrière, des séminaires et des conférences. Ces occasions m'ont permis de rencontrer des professionnels de différents secteurs et d'en apprendre davantage sur les opportunités de carrière dans le domaine des affaires. Dans l'ensemble, mon expérience a été extrêmement positive. J'ai acquis une solide formation en gestion et en commerce, j'ai participé à des activités stimulantes et j'ai eu la chance de rencontrer des professionnels de différents secteurs. Je suis convaincu que les compétences et les connaissances que j'ai acquises me seront utiles tout au long de ma carrière dans les affaires.

Thomas, 23 ans

Droit

La licence en droit : Une expérience très enrichissante et qui m'a fait mûrir. Depuis la première année, on nous martèle que nos années de licences seront difficiles et qu'il faudra s'accrocher. C'est tout à fait vrai. Mais c'est tout à fait possible et atteignable, j'en suis la preuve vivante. J'ai vécu en réalité 4 ans en licence de droit car j'ai redoublé ma première année. J'ai mis beaucoup de temps à comprendre ce qu'on attendait de moi, quelle était la charge de travail que je devais fournir. Ce que je peux dire de mes années de licence de droit, c'est qu'elles m'ont enseignés une certaine discipline de travail propre au droit et à l'université. Grâce à ces premières années, je me suis découvert au travail. Je ne savais pas ce qu'était réellement travailler jusqu'au bac pour tout vous dire. J'ai eu beaucoup de regrets pendant ma licence notamment sur le travail que je devais fournir. Je n'étais pas à 100% de mes capacités, je me contentais du minimum pour passer en année supérieure. C'est certes suffisant, mais sûrement pas assez pour intégrer un master très demandé que vous souhaitez avoir à tout prix. Alors je regrette en partie certains moments de ma licence où j'aurais pu davantage travailler. Ce qui est certain, c'est que grâce à ma licence de droit, je ne vois plus les choses de la même manière, je ne vois plus mon environnement et ce qui m'entoure de la même façon. J'apporte une réflexion que je n'avais pas avant ma licence sur beaucoup plus de domaines et de sujets. Un conseil sur votre licence : Accrochez vous à un objectif qui vous fait avancer et qui vous rappelle pourquoi vous vous levez chaque matin. Dans les moments difficiles, dites vous qu'avec le temps, il y aura forcément de meilleurs moments.

Salomé, 22 ans

Activités juridiques : contentieux et recouvrement

Étant bonne élève au lycée, on m'a toujours poussée à faire une prépa après le bac puis une école d'ingénieur. Tout le monde a des préjugés sur l'université mais je ne regrette pas du tout d'avoir choisi la licence !

Bachar, 21 ans

Le DCG est un diplôme difficile... dire le contraire serait un mensonge. Sur le plan national, on arrive à environ 35 % de réussite. C'est peu, certes, mais avec ce diplôme s'ouvre à la fois les portes du DSCG / DEC pour les plus ambitieux, et la voie du monde du travail pour les autres. C'est un diplôme pluridisciplinaire qui vous offrira les bases dans de nombreuses notions : droit, comptabilité, économie, finance, contrôle de gestion, anglais... Avec de la motivation et du travail, on y arrive !

Thomas, 25 ans

Prépa ECE

Après mon BAC ES, je me suis orienté vers une « petite » classe préparatoire en province. J’avais beaucoup d’apriori sur la quantité de travail et d’exigence. Il est vrai que j’ai beaucoup travaillé mais avec beaucoup d’entraide dans la classe et avec mes professeurs ! N’ayez pas peur de vous lancer dans cette aventure, vous allez apprendre à bien vous organiser en travaillant et bien plus. N’hésitez pas à me contacter si vous avez besoin de conseils et simplement si vous avez des questions !